12 mars 2009
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FO Disney sait reconnaître lorsqu'une volonté d'avancer dans le dialogue social existe chez un interlocuteur, qui plus est lorsque les interlocuteurs en question sont le vice président et la responsable des Ressources Humaines du Resort de Disneyland Paris.
Cela a débuté il y a quelques mois par une réunion de courtoisie qui en a entraîné d'autres et où des sujets de plus en plus ambitieux ont été abordé. Peu à peu s'est instauré un climat de confiance où chacun joue la transparence et pose ses problèmes sur la table avec la volonté de trouver des solutions consensuelles. Cela ne veut pas dire que la Direction du Resort dit oui à tout, loin de là, mais elle accepte d'entendre sans préjuger les doléances , les demandes, les revendications et les injustices que FO Disney lui remonte, ce qui par les temps qui courent est déjà un net progrès dans le processus d'un véritable dialogue social.
La Direction du Resort étudie les questions soulevées et apporte des réponses lors de la réunion suivante. Tout cela dans une atmosphère saine où la Direction ne se prive pas de faire valoir sa propre problématique, ce qui permet d'enrichir le dialogue de part et d'autre.
Il a été convenu que ce type de rapport se poursuive dans les mois à venir avec pour objectif d'harmoniser les conditions de travail des salariés du Resort.
FO Disney se réjouit de ce nouveau mode de fonctionnement qui se met en place, et dont il ne fait aucun doute que les principaux bénéficiaires seront les salariés. De plus, FO Disney reste persuadé que si l'amélioration des conditions de travail, et la reconnaissance du travail des salariés sont au rendez vous, c'est l'ensemble de l'entreprise qui en bénéficiera.
FO Disney regrette que ce type de rencontres sans à prioris, sans obligation de résultats, sans politiques stratégiques sur la gestion du panorama syndical, n'ait pas trouvé un équivalent sur l'ensemble de notre Société.
FO Disney entend faire la preuve qu'un vrai dialogue social peut modifier de façon positive et durable la vie de milliers de salariés. Si à ce jour, seul le Resort nous ouvre une telle perspective, éh bien soit, FO Disney concentrera ses efforts sur le Resort et prend rendez vous pour en tirer un bilan dès la fin 2009.
Ce travail de construction qui dépasse les visions erronées du court terme pour s'établir sur du moyen et long terme, demandera un réel travail de la part de la Direction et de FO Disney. Du côté de FO Disney, cet engagement est pris, et FO Disney tient à remercier Daniel DELCOURT et Isabelle NIGET d'accepter de s'associer à cette démarche extrèmement innovante pour notre Société.
Cela a débuté il y a quelques mois par une réunion de courtoisie qui en a entraîné d'autres et où des sujets de plus en plus ambitieux ont été abordé. Peu à peu s'est instauré un climat de confiance où chacun joue la transparence et pose ses problèmes sur la table avec la volonté de trouver des solutions consensuelles. Cela ne veut pas dire que la Direction du Resort dit oui à tout, loin de là, mais elle accepte d'entendre sans préjuger les doléances , les demandes, les revendications et les injustices que FO Disney lui remonte, ce qui par les temps qui courent est déjà un net progrès dans le processus d'un véritable dialogue social.
La Direction du Resort étudie les questions soulevées et apporte des réponses lors de la réunion suivante. Tout cela dans une atmosphère saine où la Direction ne se prive pas de faire valoir sa propre problématique, ce qui permet d'enrichir le dialogue de part et d'autre.
Il a été convenu que ce type de rapport se poursuive dans les mois à venir avec pour objectif d'harmoniser les conditions de travail des salariés du Resort.
FO Disney se réjouit de ce nouveau mode de fonctionnement qui se met en place, et dont il ne fait aucun doute que les principaux bénéficiaires seront les salariés. De plus, FO Disney reste persuadé que si l'amélioration des conditions de travail, et la reconnaissance du travail des salariés sont au rendez vous, c'est l'ensemble de l'entreprise qui en bénéficiera.
FO Disney regrette que ce type de rencontres sans à prioris, sans obligation de résultats, sans politiques stratégiques sur la gestion du panorama syndical, n'ait pas trouvé un équivalent sur l'ensemble de notre Société.
FO Disney entend faire la preuve qu'un vrai dialogue social peut modifier de façon positive et durable la vie de milliers de salariés. Si à ce jour, seul le Resort nous ouvre une telle perspective, éh bien soit, FO Disney concentrera ses efforts sur le Resort et prend rendez vous pour en tirer un bilan dès la fin 2009.
Ce travail de construction qui dépasse les visions erronées du court terme pour s'établir sur du moyen et long terme, demandera un réel travail de la part de la Direction et de FO Disney. Du côté de FO Disney, cet engagement est pris, et FO Disney tient à remercier Daniel DELCOURT et Isabelle NIGET d'accepter de s'associer à cette démarche extrèmement innovante pour notre Société.
Jeudi 15 janvier 2009
FO Disney vient de réaliser un véritable tour de force en faisant élire 4 de ses candidats aux élections des CHSCT de Disneyland Paris alors que FO Disney n'a pas un seul élu au Comité d'Entreprise. Nous rappelons que pour les élections des CHSCT, seuls les délégués du personnel et les membres élus du Comité d 'Entreprise votent.
FO Disney devait en plus faire face à une liste commune de la CGT, CFE-CGC, SIPE, qui constituent pour deux de ces organisations le bureau et le secrétariat du Comité d'Entreprise.
Ce résultat inespéré et qui peut sembler relever de la science fiction, est le fruit d'un énorme travail du secrétaire de FO Disney, Guy Bruno M'BOE et du travail de terrain du délégué syndical David CHARPENTIER qui était en charge de la préparation de ces élections. Bravo à eux deux pour cette belle réussite.
FO Disney va maintenant pouvoir souffler après ces dernières semaines qui auront vu en moins de 2 mois les élections pour les prud'hommes et les élections pour les CHSCT.
FO Disney qui partait de rien est en train de construire un mouvement et un courant syndical qui verra son plein épanouissement pour les élections des représentants du personnel de 2010.
FO Disney vous présentera sous peu ses 4 nouveaux élus et se réjouit d'une manière toute particulière de l'élection de Ezio DE LA PENNA sur le secteur du spectacle, En effet, Ezio revient dans l'entreprise après une longue absence, et ne pouvait fêter son retour de plus belle manière que par celle de son élection.
FO Disney devait en plus faire face à une liste commune de la CGT, CFE-CGC, SIPE, qui constituent pour deux de ces organisations le bureau et le secrétariat du Comité d'Entreprise.
Ce résultat inespéré et qui peut sembler relever de la science fiction, est le fruit d'un énorme travail du secrétaire de FO Disney, Guy Bruno M'BOE et du travail de terrain du délégué syndical David CHARPENTIER qui était en charge de la préparation de ces élections. Bravo à eux deux pour cette belle réussite.
FO Disney va maintenant pouvoir souffler après ces dernières semaines qui auront vu en moins de 2 mois les élections pour les prud'hommes et les élections pour les CHSCT.
FO Disney qui partait de rien est en train de construire un mouvement et un courant syndical qui verra son plein épanouissement pour les élections des représentants du personnel de 2010.
FO Disney vous présentera sous peu ses 4 nouveaux élus et se réjouit d'une manière toute particulière de l'élection de Ezio DE LA PENNA sur le secteur du spectacle, En effet, Ezio revient dans l'entreprise après une longue absence, et ne pouvait fêter son retour de plus belle manière que par celle de son élection.
Mercredi 14 janvier 2009
Le 13 janvier 2009, les comptes du Comité d'Entreprise ont été présenté aux élus de ce même Comité.
Après avoir annoncé le redressement miraculeux des comptes, le bureau du Comité d'Entreprise a reçu les félicitations de la Direction qui les a encouragé à continuer dans ce sens. Le Comité d'Entreprise est toujours déficitaire, mais ce déficit a été ramené à 84 000 euros, ce qui au regard des sommes brassées par l'entreprise est une goutte d'eau. Nous encourageons la Direction à donner un coup d'éponge sur ce qui fait tâche pour une Société qui vend du rêve et de l'image.
Le secrétaire en a profité pour demander une augmentation des subventions de l'employeur, ce qui a été refusé par une pirouette verbale et un sourire de la part de la Direction.
FO Disney soutient la position du secrétaire du CE dans sa demande, non pas que FO Disney ait la naÏveté de croire que cette augmentation de subvention soit synonyme d'augmentation de prestations pour les salariés, mais FO Disney considère que les budgets d'un grand nombre de lignes budgétaires sont plus qu'insuffisantes et ne permettront jamais d'obtenir des prestations à la hauteur des attentes des salariés.
FO Disney précise que la subvention donnée par l'employeur est le minimum légal, ce qui témoigne du peu d'implication de la Direction de Disneyland Paris pour les activités sociales et culturelles dont pourraient bénéficier les salariés. Pour FO Disney, ce désintéressement est à la hauteur du peu d'augmentation des salaires que nous connaissons depuis des années dans l'entreprise.
La Direction de Disneyland Paris se complait à donner le minimum de ce qu'elle doit faire légalement ou donne une aumône pour avoir bonne conscience. "Il en faut peu pour être heureux".
Pour en revenir au bilan des comptes du Comité d'Entreprise, FO Disney déplore que le nombre de bénéficiaires par lignes budgétaires n'apparaisse pas et ne permette aucune étude approfondie sur la véritable gestion du Comité d'Entreprise. Y a t il un minimum de salariés qui bénéficient de beaucoup ou une majorité qui bénéficient de très peu : c'est là l'un des véritables enjeux du Comité d'Entreprise, (le second étant le contrôle des comptes de l'entreprise, prérogative que les élus refusent d'assumer en ne demandant aucune expertise des comptes de l'entreprise, ce qui fait le bonheur de notre Direction et laisse planer un immense doute sur la solidité ou la fragilité de notre Société pour les mois à venir).
FO Disney regrette également le peu de participations de la part des élus sur le bilan présenté, et comme l'a si justement fait remarquer Ladji Touré, FO Disney (qui a été l'un des seuls interlocuteurs du cabinet comptable qui présentait les comptes) fait figure d'un grand isolement dans le paysage syndical de l'Entreprise. C'est sans doute le prix à payer pour l'indépendance et la défense de valeurs qui ne visent qu'au seul intérêt des salariés, position qui ne semble pas toujours partagée au sein du Comité d'Entreprise par l'ensemble des organisations syndicales et la Direction de notre Société.
En conclusion, le Comité d'Entreprise de Disneyland Paris est semblable à une grosse fraise bien juteuse entourée d'un essaim d'abeilles. Pour FO Disney il est aussi un leurre qui permet d'occuper et de détourner les organisations syndicales de leur vocation première : la défense des intérêts des salariés.
On a coutume de dire que les salariés ont les syndicats qu'ils méritent.
FO Disney refuse de croire cela car FO Disney a le sentiment qu'à Disneyland Paris, les salariés ont les syndicats que la Direction veut bien.
Cyril LAZARO
Après avoir annoncé le redressement miraculeux des comptes, le bureau du Comité d'Entreprise a reçu les félicitations de la Direction qui les a encouragé à continuer dans ce sens. Le Comité d'Entreprise est toujours déficitaire, mais ce déficit a été ramené à 84 000 euros, ce qui au regard des sommes brassées par l'entreprise est une goutte d'eau. Nous encourageons la Direction à donner un coup d'éponge sur ce qui fait tâche pour une Société qui vend du rêve et de l'image.
Le secrétaire en a profité pour demander une augmentation des subventions de l'employeur, ce qui a été refusé par une pirouette verbale et un sourire de la part de la Direction.
FO Disney soutient la position du secrétaire du CE dans sa demande, non pas que FO Disney ait la naÏveté de croire que cette augmentation de subvention soit synonyme d'augmentation de prestations pour les salariés, mais FO Disney considère que les budgets d'un grand nombre de lignes budgétaires sont plus qu'insuffisantes et ne permettront jamais d'obtenir des prestations à la hauteur des attentes des salariés.
FO Disney précise que la subvention donnée par l'employeur est le minimum légal, ce qui témoigne du peu d'implication de la Direction de Disneyland Paris pour les activités sociales et culturelles dont pourraient bénéficier les salariés. Pour FO Disney, ce désintéressement est à la hauteur du peu d'augmentation des salaires que nous connaissons depuis des années dans l'entreprise.
La Direction de Disneyland Paris se complait à donner le minimum de ce qu'elle doit faire légalement ou donne une aumône pour avoir bonne conscience. "Il en faut peu pour être heureux".
Pour en revenir au bilan des comptes du Comité d'Entreprise, FO Disney déplore que le nombre de bénéficiaires par lignes budgétaires n'apparaisse pas et ne permette aucune étude approfondie sur la véritable gestion du Comité d'Entreprise. Y a t il un minimum de salariés qui bénéficient de beaucoup ou une majorité qui bénéficient de très peu : c'est là l'un des véritables enjeux du Comité d'Entreprise, (le second étant le contrôle des comptes de l'entreprise, prérogative que les élus refusent d'assumer en ne demandant aucune expertise des comptes de l'entreprise, ce qui fait le bonheur de notre Direction et laisse planer un immense doute sur la solidité ou la fragilité de notre Société pour les mois à venir).
FO Disney regrette également le peu de participations de la part des élus sur le bilan présenté, et comme l'a si justement fait remarquer Ladji Touré, FO Disney (qui a été l'un des seuls interlocuteurs du cabinet comptable qui présentait les comptes) fait figure d'un grand isolement dans le paysage syndical de l'Entreprise. C'est sans doute le prix à payer pour l'indépendance et la défense de valeurs qui ne visent qu'au seul intérêt des salariés, position qui ne semble pas toujours partagée au sein du Comité d'Entreprise par l'ensemble des organisations syndicales et la Direction de notre Société.
En conclusion, le Comité d'Entreprise de Disneyland Paris est semblable à une grosse fraise bien juteuse entourée d'un essaim d'abeilles. Pour FO Disney il est aussi un leurre qui permet d'occuper et de détourner les organisations syndicales de leur vocation première : la défense des intérêts des salariés.
On a coutume de dire que les salariés ont les syndicats qu'ils méritent.
FO Disney refuse de croire cela car FO Disney a le sentiment qu'à Disneyland Paris, les salariés ont les syndicats que la Direction veut bien.
Cyril LAZARO
Dimanche 28 décembre 2008
Guy Bruno MBOE
Secrétaire de la section FO Disney
Elu conseiller prud'homme à Meaux
Manuel ROMERO
Trésorier de la section FO Disney
Délégué syndical FO Disney
Hervey SAUMADE
Archiviste de la section FO Disney
Représentant syndical de la section FO Disney au CE
Eufrasia et Nzale
Déléguée syndicale de la section FO Disney
Représentant au CHSCT central de la section FO Disney
Odile RAFFINI, secrétaire générale de l'UD FO 77
David CHARPENTIER et Cyril LAZARO
Délégués syndicaux de la section FO Disney
Fred Rincon
Délégué syndical de la section FO Disney
L'assemblée générale des syndicats FO du 77 à Montereau
Secrétaire de la section FO Disney
Elu conseiller prud'homme à Meaux
Manuel ROMERO
Trésorier de la section FO Disney
Délégué syndical FO Disney
Hervey SAUMADE
Archiviste de la section FO Disney
Représentant syndical de la section FO Disney au CE
Eufrasia et Nzale
Déléguée syndicale de la section FO Disney
Représentant au CHSCT central de la section FO Disney
Odile RAFFINI, secrétaire générale de l'UD FO 77
David CHARPENTIER et Cyril LAZARO
Délégués syndicaux de la section FO Disney
Fred Rincon
Délégué syndical de la section FO Disney
L'assemblée générale des syndicats FO du 77 à Montereau
Mercredi 10 décembre 2008
FO Disney regrette cet état de fait et souhaite qu'un dialogue constructif soit retrouvé le plus rapidement possible. Les crispations survenues suite aux échéances électorales des prud'hommes ne doivent pas servir de prétexte pour empêcher la poursuite d'échanges visant à améliorer l'évolution du personnel de Disneyland Paris sur le plan professionnel et sur le plan de la rémunération. A moins que la Direction de Disneyland entende continuer à mener seule la gestion sociale de l'entreprise en faisant fi des organisations syndicales qui ne vont pas dans son sens.
FO Disney n'entend nullement arrêter son action revendicative. Au contraire, à la vue des faits qui nous sont remontés quotidiennement, il est de plus en plus urgent de réagir. La Direction de Disneyland Paris ne peut pas s'exonérer de ses devoirs et se croire intouchable.
FO Disney dénonce le délabrement de la considération des seniors à Disneyland Paris.
Une salariée vient de me saisir ce soir. Agée de 47 ans, elle travaille en restauration. Suite à des problèmes de dos, elle reçoit des infiltrations et est obligée de boire 2 litres d'eau par jour. Aujourd'hui, alors qu'elle a passé 3 heures et demi en caisse elle a eu une envie pressante d'aller aux toilettes. Elle a interpelé à 3 reprises son Team Leader âgé de 25 ans pour qu'il la remplace. Son Team Leader l'a fait patienter, patienter, patienter, et ne l'a jamais remplacée.
La salariée a donc quitté et fermé sa caisse pour pouvoir aller aux toilettes. A son retour, son Team Leader a exigé des explications sur son départ. La salariée lui a dit qu'elle a été aux toilettes. Le Team Leader lui a reproché de l'avoir fait sans son accord et lui a fait savoir que cela ne s'arrêterait pas là. Tout cela s'est déroulé sous le regard des guests qui ont soutenu la salariée, ce qui a eu pour résultat d'énerver davantage le Team Leader.
Ce type de comportement est inacceptable. Tout le monde sait que cela se produit et que nos seniors sont poussés à bout pour qu'ils démissionnent. Personne ne dit rien et ne fait rien.
Une salariée de 49 ans qui travaille en boutique a subi le même type de comportement. Son Team Leader lui a dit qu'il ne voulait plus voir sa tête sur le floor, ce qui signifie qu'il ne voulait plus qu'elle soit en contact avec les clients. Cette salariée qui a été élue meilleure vendeuse de sa boutique voit son évaluation annuelle affublée d'un rating 4 (critères de 1 à 5, 5 étant le plus mauvais).
J'ai vu cette femme pleurer parce qu'elle ne comprenait pas ce qu'on lui reprochait. FO Disney est remonté jusqu'au vice président de la division sans qu'une décision véritablement satisfaisante ait été prise si ce n'est que la pression sur cette salariée s'est relachée. Jusqu'à quand?
Combien d'autres cas sont étouffés?
Je le dis avec toute la force de mes convictions. Une Direction qui laisse se dérouler ce type de comportement dans son entreprise n'a aucune leçon à nous donner.
Elle a 2 choix : soit elle travaille avec nous pour changer cet état de fait, soit elle persévère dans son attitude de laisser faire en faisant croire qu'elle n'est au courant de rien et dans ce cas nous la combattrons sans relâche.
Dorénavant, tous les cas rencontrés par FO Disney seront écrits noir sur blanc sur ce blog.
Si la Direction de Disneyland Paris ne veut pas entendre raison, les dommages seront collatéraux, qu'elle se le dise.
Cyril LAZARO
Délégué syndical FO Disney
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