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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 22:52
Dans ses parcs d’attractions, Disney traque ses visiteurs avec des bracelets connectés

Walt Disney entre dans l’ère du big data : la firme de divertissement a investi un milliard de dollars dans un programme capable de traquer les moindres faits et gestes des visiteurs de ses différents parcs d’attractions, grâce à un bracelet connecté. L’entreprise stocke et analyse ces données pour fournir un meilleur service à ses clients et faire plus de profit.

Walt Disney, le nouvel anti-robin des bois de la data, enregistre de multiples données sur les visiteurs de ses parcs d’attractions et les utilise à son propre profit. L’entreprise a investi un milliard de dollars pour tester un nouveau système de réservation, explique Businessweek. Il permet de retenir une chambre dans l’hôtel de la Belle au bois dormant ou une table à l’auberge de Cendrillon plusieurs mois à l’avance, via le site web de la société ou une application mobile.

Suivre les déplacements des visiteurs

Mais le cœur de ce programme réside dans la distribution aux touristes qui visitent les parcs - et qui l'acceptent - d’un bracelet connecté. Cet outil baptisé "Magic Band" permet à Walt Disney de suivre pas à pas les visiteurs de ses parcs, grâce aux ondes radios émises par chaque anneau. L’entreprise sait dans quels restaurants ou magasins ils s’arrêtent le plus longtemps, à quelles attractions ils font le plus la queue. Le bracelet sert aussi de clef à leur chambre d’hôtel, et leur permet de payer.

Cet accessoire de tracking devrait permettre à Walt Disney de développer le chiffre d’affaires de ses parcs, qui s’élevait en 2012 à 3,2 milliards de dollars. Grands magasins, supermarchés... de nombreuses entreprises et organisations, comme le musée des arts de Dallas, pourraient suivre l’exemple de Disney pour mieux comprendre leurs clients et in fine... les faire dépenser plus.

Lélia de Matharel

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 21:37
Jeux vidéo: Disney licencie 700 personnes

Disney a licencié 700 employés de sa branche "Interactive", chargée de la création de jeux vidéo sur mobile, Internet et consoles traditionnelles, révèle le New York Times. Cette coupe dans les effectifs représente plus d'un quart des employés de cette division.

Le roi du dessin animé a décidé de restructurer ses activités dans le jeu vidéo en fusionnant ses activités "jeux mobiles" et "jeux Facebook". Disney Interactive produira deux fois moins de titres qu'actuellement et passera plus souvent commande à des studios externes. Deux sites de jeux, BabyZone.com et Spoonful.com, fermeront également leurs portes.

Succès des jeux mobiles Disney au Japon

Ces licenciements interviennent alors que Disney Interactive a renoué avec la rentabillité à la fin de l'année 2013, après plusieurs années de perte. Ces chiffres sont dus aux bonnes ventes de Disney Infinity, un jeu vidéo combiné à des figurines issues des univers Disney. Le titre, reprenant le même principe que la saga Skylanders d'Activision, est sorti sur les principales consoles et s'est écoulé à 3 millions d'exemplaires à travers le monde.

Disney rencontre également un fort succès au Japon avec son jeu mobile "Disney Tsum Tsum". Lancé le 29 janvier, il a déjà été téléchargé 8 millions de fois et est actuellement dans le top des applications les plus populaires. Disney a également signé des accords avec Line, le Whatsapp japonais, pour vendre aux utilisateurs de cette application très populaire des "stickers" virtuels à l'effigie de ses célèbres mascottes.

Comme l'explique le New York Times, cette vague de licenciement reflète l'échec du rachat de l'éditeur de jeux Facebook Playdom. Acheté par Disney en 2010 pour 563 millions de dollars, Playdom n'a jamais créé de grand succès comme FarmVille. De plus, le business des jeux Facebook est en déclin : les utilisateurs leur préfèrent désormais les jeux sur mobile, comme Candy Crush.

Source lefigaro.fr

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 19:36
« Culture du viol » : les réseaux sociaux contre Disney

En août dernier, une étudiante en anthropologie de 23 ans commence son stage à Disney World, en Floride. Peu après, elle déclare avoir été victime d’un viol commis par un collègue, lors d’une soirée avec des membres du staff, trois semaines après son arrivée au « Disney College Program ».

S’ensuit pour la jeune femme une longue lutte afin d’être entendue et soutenue au sein de l’entreprise Disney, en vain, au vu de ce qu’elle déclare après coup :

« Je me sens davantage détruite par la manière dont Disney m’a traitée que par le fait d’avoir été violée. »

C’est le site américain XOJane.com qui publie d’abord le témoignage de l’étudiante, dans sa rubrique « cela m’est arrivé ». Selon la rédaction, le texte est mis en ligne sans vérification des propos de la jeune femme.

Il n’empêche, suite à sa publication, le récit suscite de nombreuses réactions et déclenche une campagne sur les réseaux sociaux contre la manière dont l’entreprise gère l’affaire.

Il ne faut pas traîner avec des garçons la nuit

Plutôt que d’être un récit du viol, le témoignage de la jeune étudiante raconte la façon dont elle aurait été reçue par le personnel des ressources humaines de Disney, lorsqu’elle a voulu alerter l’entreprise de sa situation.

 


 

Figurines de personnages féminins de Disney (JD Hancock photo/jdhancock.com/CC)

Il lui serait arrivé ce qui arrive à beaucoup de victimes de viol : la véracité de ses propos est, selon elle, remise en cause. Ses interlocuteurs auraient essayé d’imaginer des excuses au violeur présumé, et insinué qu’elle était elle-même responsable du comportement du jeune homme.

L’étudiante aurait ainsi dû chercher longtemps pour trouver quelqu’un au sein de l’entreprise à qui parler de ce qui lui est arrivé. Une conseillère lui aurait finalement rappelé qu’il ne fallait pas « traîner avec des garçons au milieu de la nuit ».

Lorsque la fille déclare s’inquiéter de voir le garçon draguer d’autres collègues, la conseillère insinue qu’au fond elle est jalouse, et qu’elle devrait plutôt s’habiller de manière sexy lors de la prochaine soirée de façon à reconquérir l’homme.

Sollicitée à plusieurs reprises par Rue89, le service de communication de Disney World ne dément ni ne confirme les accusations faites par l’auteure du récit sur XOJane.com, une semaine après sa publication. « On est dessus », assure au téléphone la responsable du service, Kathleen Prihoda, sans vouloir en dire plus.

#Disneyrape

35 000 personnes « aiment » l’article de XOJane.com sur Facebook, et au moins 2 000 le tweetent. La blogueuse américaine Mari, plus connue sous le pseudonyme Feminist Disney, va plus loin :

« Une de mes amies m’a passé le lien vers l’article, parce qu’elle sait que j’écris mon blog sur ce genre de sujet. J’ai été très choquée après l’avoir lu, alors j’ai commencé à le diffuser tout de suite. »

Cette diplômée en lettres de 24 ans, qui décortique depuis trois ans la narration et l’esthétique Disney de manière critique, décide de prendre les choses en main. Sur Tumblr, elle appelle ses 17 000 lecteurs à se tourner vers Disney, et à lui faire part de leur consternation face au traitement de la jeune étudiante.

Au bout de quatre jours, sa note de blog est reprise 8 000 fois, et les tweets marqués #Disneyrape [« viol disney », ndlr] commencent à se multiplier, ainsi que les commentaires critiques sur les diverses pages officielles Facebook de Disney. De nombreux internautes envoient des e-mails et des lettres de protestation à Walt Disney World.

Nombreux sont ceux qui réclament que Disney présente ses excuses à la jeune femme pour la manière dont elle a été accueillie ; ils demandent aussi à l’entreprise de mettre en place de meilleures politiques pour traiter les cas d’abus sexuels parmi ses salariés.

Disney, de son côté, s’engage dans un « nettoyage » quasi systématique de tout commentaire faisant allusion au traitement du viol présumé sur ses pages.

L’antécédent du viol de Steubenville

David Wojciechowski, étudiant en master de politiques publiques à l’université George Washington, à Washington, s’engage en envoyant des e-mails à Disney. Il poste aussi des messages sur Facebook et Twitter, pour que l’enseigne admette sa responsabilité dans le mauvais traitement de la jeune femme. Pour David Wojciechowski, ce cas illustre une attitude répandue dans la société concernant le viol :

« La victime n’a pas été prise au sérieux. Il est fréquent que les victimes de viol soient rendues coupables de leur abus. »

Le jeune étudiant évoque le cas du viol collectif à Steubenville dans l’Ohio, très médiatisé en décembre dernier, où une fille inconsciente a été abusée sexuellement par un groupe de jeunes joueurs de football américain :

« Même un cas comme celui-là a abouti à la culpabilisation massive de la victime qui a accusé les hommes d’avoir abusé d’elle. Et dans ce cas précis, elle avait une quantité énorme de preuves de leur culpabilité. »

La « culture du viol »

Depuis quelques années, dans le monde anglo-saxon, on parle davantage de « culture du viol » [« rape culture », ndlr], culture qui veut que la société véhicule une image de la sexualité masculine et féminine susceptible de normaliser le viol dans beaucoup de cas, et qu’elle relativise les méfaits du viol sur la victime.

Pour David Wojciechowski, avec le cas de Steubenville, où plusieurs médias ont choisi de montrer davantage de pitié vis-à-vis des violeurs que de la victime, il est désormais plus facile d’avancer l’idée qu’une telle culture existe.

Pour la blogueuse Feminist Disney également, le cas de Disney World est un exemple de la « culture du viol » :

« Cette culture, aux Etats-Unis, encourage le viol en décourageant les victimes. Dans ce cas, la fille a dû faire face à la résistance de ses interlocuteurs à chaque fois qu’elle a voulu parler de son problème. »

65% des viols ne sont pas signalés

La jeune fille a attendu deux mois pour parler de l’incident à son employeur.

« Je me suis dit que c’était un malentendu ; peut-être ne m’avait-il pas entendu. Je culpabilisais ; j’aurais dû crier plus fort. J’aurais dû le pousser plus fort. »

L’étudiante n’a pas porté plainte contre l’homme qu’elle accuse de l’avoir violée, selon elle, par peur d’être remise en cause.

Aux Etats-Unis, les viols et les abus sexuels constituent une des catégories les plus importantes des crimes non signalés aux autorités publiques ; entre 2006 et 2010, 65% des cas n’ont pas été signalés selon un rapport [PDF] du Département de justice américain.

Avec le consentement de la jeune fille concernée, Feminist Disney vient de lancer une pétition en ligne.

 

Florencia Rovira Torres | Journaliste Source rue89.com
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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:30
Disney: la chaîne ESPN licencie 300 à 400 personnes

Le réseau de chaînes câblées de sport ESPN, l'un des actifs les plus rentables de l'empire Disney, a amorcé des licenciements qui devraient porter sur 300 à 400 personnes, afin de réduire ses coûts face à une concurrence accrue et à des coûts de retransmission en hausse.

 

"Nous mettons en place des changements à travers l'entreprise pour améliorer notre croissance tout en gérant nos coûts intelligemment. Bien que ces décisions soient difficiles, nous sommes certains qu'elles nous rendrons plus compétitifs, innovants et productifs", a indiqué ESPN dans un communiqué, sans détailler davantage.

 

"Nous éliminons entre 300 et 400 postes", dont une large partie par départs naturels et non remplacement de postes vacants, a précisé une source proche du dossier. Cela représente 4% à 6% des effectifs de la filiale de Disney, qui compte environ 7 000 personnes.

 

Parallèlement d'autres recrutements auront lieu et le nombre de réductions de postes nettes n'est donc pas connu, a précisé cette source.

 

Elle a expliqué que le réseau de chaînes de sport faisait face à "une consolidation de ses partenaires de distribution et à une concurrence accrue pour l'obtention des droits de retransmission en direct des événements sportifs", ce qui se traduit par une hausse des tarifs versés.

 

L'action de Disney a reculé de 0,44% à 65,83 dollars mardi.

 

Disney avait annoncé début mai une hausse de 32% de son bénéfice net à 1,5 milliard de dollars au premier trimestre, dopé par de bonnes performances dans presque toutes ses activités, notamment des revenus en hausse d'ESPN.

 

Le PDG Bob Iger avait alors salué la forme "exceptionnelle" des chaînes de télévision sportives de sa division de chaînes sportives, dont les abonnements ont nettement augmenté, notamment à l'international, tout comme les recettes publicitaires.

Source lesaffaires.com

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 08:51
Le Parc Astérix a retrouvé la formule de la potion magique

Au Parc Astérix, à 30 km au nord de Paris, les manèges a sensation fortes sont plébiscités.

Au Parc Astérix, à 30 km au nord de Paris, les manèges a sensation fortes sont plébiscités.

Demandez-lui comment vont les affaires, et il vous répondra comme un agriculteur : "Il fait encore froid, la nature a beaucoup de retard... donc on se maintient." Pascal Fliche est le directeur général du Parc Astérix, dont l'affluence dépend largement des aléas climatiques. "On va se rattraper cet été !", lance-t-il.

Si Pascal Fliche est aussi sûr de lui, c'est qu'il semble avoir trouvé la recette pour doper les résultats de son village gaulois. Avec 73 millions d'euros de recettes et 1 720 000 visiteurs en 2012 (8 % de plus qu'en 2011), le Parc Astérix a retrouvé sa place de numéro deux en France au détriment du Futuroscope (1 698 000 visites), Disneyland Paris (16 millions de visiteurs) restant, bien sûr, hors concours. Belle saison pour ce parc ouvert il y a vingt-quatre ans à Plailly, dans l'Oise.

Les lieux appartiennent depuis 2002 à la Compagnie des Alpes (CDA), également propriétaire du Futuroscope (Poitiers) ou du réseau Walibi. "Entre les stations de ski et les parcs, il n'y a pas tant de synergies de revenus. Mais ce sont les mêmes compétences : cela reste des câbles et des poulies ! ", s'amuse Dominique Marcel, président du directoire de la CDA.

Pourtant, le métier n'est pas seulement une affaire de mécanique. "Le secteur s'est beaucoup développé et professionnalisé depuis les années 1990 et l'arrivée des grands parcs comme Disney, constate Arnaud Bennet, président du Syndicat national des espaces de loisirs, d'attractions et culturels (Snelac). Désormais, il faut être à la fois industriel, restaurateur, commerçant, communicant..." Sans oublier météréologue...

Chez Astérix, Pascal Fliche semble manier adroitement tous ces leviers. Effort industriel, adaptation à la météo et marketing malin, voilà les ingrédients qui semblent réussir à son parc.

MÉCANIQUE RAFRAÎCHIE

L'avantage d'appartenir à un grand groupe, c'est la visibilité apportée par son assise financière - la CDA est soutenue par la Caisse des dépôts et consignations. Cela fait six ans que la Compagnie des Alpes s'est mis en tête de relancer ses grandes marques, dont Astérix.

Les deux premières années du plan ont été consacrées à la remise à neuf des installations. "A mon arrivée, il y avait une rame sur trois qui fonctionnait dans les montagnes russes. Aujourd'hui, nous en avons cinq qui tournent en permanence ", constate M. Fliche.

Tous les ans, en novembre, les nacelles sont envoyées à Chambéry, le fief de la CDA, pour maintenance. Elles sont remontées en mars, avant la réouverture du parc à la fin de la trêve hivernale. Le taux d'immobilisation a été réduit de 80 %. "La disponibilité est au moins supérieure de 30 % par rapport à chez Disney", affirme M. Fliche, qui a passé une décennie dans le royaume de Mickey.

Depuis quatre ans, c'est l'heure de la relance. Dans un parc à thème encore plus qu'ailleurs, l'investissement est le nerf de la guerre. Les nouveautés, c'est ce qui permet d'attirer les familles, mais surtout de les faire revenir. Actuellement, chez Astérix, le client régulier vient tous les deux ans et demi.

5 MILLIONS D'EUROS POUR LES NOUVEAUTÉS

Le parc peut désormais planifier ses investissements cinq ans à l'avance, "sans claquer des dents en attendant les chiffres de la dernière saison", dit M. Fliche, qui investit entre 12 % et 14 % de ses recettes chaque année dans la maintenance et l'agrandissement, dont 5 millions d'euros pour les nouveautés.

Depuis 2011, la capacité du parc a augmenté de 25 %. C'est l'effet Oziris - 20 millions d'euros de budget -, qui projette les téméraires les pieds dans le vide à 90 km/h depuis une hauteur de 40 mètres. L'attraction a déjà séduit un million de personnes. Le Parc Astérix entend toutefois éviter la course au gigantisme. "Nous n'avons pas les moyens de Disney, donc nous devons innover et étonner", souligne M. Fliche. Une équipe de la CDA parcourt le monde pour dénicher de bonnes idées... qu'elle trouve aussi dans les jeux vidéo. 

S'adapter à la contrainte climatique est l'autre grande obligation pour les parcs d'attractions. "C'est une économie de coûts fixes. Une mauvaise année, et on peut perdre beaucoup", explique Stéphane Durand, consultant associé chez Horwath HTL. Au Futuroscope, Dominique Hummel, le patron, confirme : "Il faut bien "dimensionner" le parc en fonction des prévisions météo, une semaine à l'avance. Déclencher des recrutements, décider des heures d'ouverture, faire préparer les sandwichs..."

Pour éviter que le ciel ne lui tombe sur la tête, Le Parc Astérix a pris ses précautions. Chaque nouveau manège dispose d'une file d'attente couverte. Surtout, le parc fermant l'hiver, la direction a mis en place un système particulier pour ses salariés (220 postes en CDI et 1 000 saisonniers).

Ces derniers, baptisés "les irréductibles", travaillent huit mois, puis prennent un mois de vacances. Les trois mois restants... sont du ressort de Pôle emploi. Les meilleurs saisonniers repartent avec une promesse de réembauche à la fin de la saison.

UN MARKETING FUTÉ

Souvent perçu comme un parc à sensation prisé des adolescents, Astérix a élargi sa clientèle en misant sur un marketing malin. Car chez Disney, Walibi ou Astérix, ce sont partout les mêmes montagnes russes.

Seule la mise en scène diffère. D'où l'importance de "l'histoire" que raconte le parc. Celle d'Astérix repose sur les Gaulois, et l'humour. Sur Oziris, la file d'attente est truffée de hiéroglyphes loufoques inspirés de la bande dessinée'Astérix et Cléopâtre.

Pour séduire les plus jeunes, la direction du parc est en train de construire une zone aquatique sur le lac, à côté de "Lutèce Plage", où les bambins peuvent se défouler à l' Idéfix Club tandis que leurs parents se reposent sur des transats.

Pour convaincre les professeurs d'amener leurs élèves, la direction leur propose depuis trois ans un programme à la carte, avec sensibilisation à l'écologie grâce au spectacle des dauphins, et découverte des métiers d'antan. Dans un autre genre, le parc organise les 8 et 9 mai le Festival Electronix, en parallèle avec la Techno Parade, pour les amateurs de musique techno.

Enfin, plutôt que de payer des spots TV, la direction épluche régulièrement les données de l'Insee pour déceler les zones propices : dernièrement, la ville de Chantilly a été l'objet d'une campagne d'affichage intense : "On y trouve beaucoup d'enfants, avec des parents aisés", explique M. Fliche. Dernière astuce, le Parc Astérix s'offre des écrans publicitaires au cinéma juste avant le début des films de... Disney.

Source lemonde.fr

 

Cinq candidats en lice pour diriger Accor, après l'éviction d'Hennequin

Cinq candidats sont en lice pour reprendre les rênes du groupe d'hôtellerie Accor, parmi lesquels l'actuel directeur général de transition, Yann Caillère, mais aussi le président de Canal+, Bertrand Méheut, affirme le Journal du Dimanche.

Cinq candidats sont en lice pour reprendre les rênes du groupe d'hôtellerie Accor, parmi lesquels l'actuel directeur général de transition, Yann Caillère, mais aussi le président de Canal+, Bertrand Méheut, affirme le Journal du Dimanche.
Après le débarquement brutal en début de semaine pour divergence stratégique de Denis Hennequin, une gouvernance intérimaire a été mise en place à la tête du numéro six mondial de l'hôtellerie, le temps de chercher un nouveau patron.


L'ex-banquier Philippe Citerne est devenu président non exécutif, le patron du fonds Colony Capital Europe (un actionnaire majeur du groupe) Sébastien Bazin, vice-président, et le directeur général délégué d'Accor Yann Caillère, directeur général.
Selon le JDD, ce dernier "pourrait voir plus loin que son poste actuel" et fait partie des cinq candidats potentiels à la présidence, puisqu'il bénéficie de "soutiens en interne et auprès des franchisés".
Vient ensuite Sven Boinet qui fut, rappelle l'hebdomadaire, président du directoire de Lucien Barrière puis directeur général de Pierre & Vacances et "est un proche de Sébastien Bazin".
Le JDD cite également le nom de Bertrand Méheut, président de Canal+ depuis 2003 et administrateur d'Accor. "L'avenir agité de Vivendi fait qu'il se verrait bien à la tête d'Accor", écrit le JDD, qui rappelle néanmoins son inexpérience en matière d'hôtellerie.
André Martinez, actuel conseiller entreprise du ministre de l'Economie Pierre Moscovici et de la ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq, qui a quitté Accor en 2006, "dit ne pas postuler mais reconnaît +cocher la case+", affirme le JDD.
Le journal cite enfin Jacques Ehrmann "passé par les Hôtels Méridien, Disneyland Paris, le Club Med et la présidence de Mercialys (la foncière du groupe Casino) jusqu'à l'an dernier".

Source leparisien.fr

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 08:05
Pour Disney, les filles n'étaient bonnes que pour le coloriage

Quand sa grand-mère est morte, Kevin Burg a retrouvé une lettre de rejet de candidature qui avait été envoyée à celle-ci par Walt Disney en 1938. Le contenu est tellement  sexiste que Burg a posté la missive sur FlickR.

(FlickR/CC 2.0/simsandwich)

Mary V. Ford, de son nom de jeune fille, avait manifestement écrit au célèbre studio d'animation pour connaître les critères nécessaires pour être admise à l'école Disney, qui formait ses animateurs. 

Réponse: «Les filles ne travaillent pas du côté créatif pour préparer les dessins animés pour l'écran, car cette tâche est exclusivement réservée aux jeunes hommes. Pour cette raison, les candidatures des filles ne sont pas examinées pour l'école préparatoire.»

Pour la consoler, les gentils sexistes de Disney précisent quand même que Ford peut tenter de faire du coloriage pour eux:

«Le seul travail ouvert aux femmes consiste à tracer les dessins des personnages sur des feuilles de celluloïd avec de l'encre de Chine et de remplir l'espace entre les traits avec une pointe de l'autre côté de la feuille en suivant les directions données.»

Source slate.fr

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 17:04
Les parcs de loisirs à l'épreuve de la crise

Une

La saison est désormais lancée pour les parcs d'attractions ou de loisirs. Après une année 2012 marquée par une météo défavorable, le secteur, qui jusqu'alors a échappé à la crise, pourrait être confronté à la panne de la consommation des ménages.

La saison 2013 est désormais lancée pour les parcs d'attractions ou de loisirs, avec l'ouverture entre le début du mois et le week-end dernier de la très grande majorité des sites. Alors que le secteur a résisté à la crise économique depuis 2008, bien des professionnels ont désormais l'oeil autant sur les indicateurs de conjoncture, pour cause de panne de la consommation des menages, que sur la météo. Car cette dernière a quelque peu affecté la saison 2012, également contrariée par un calendrier politique défavorable pour cause d'élections.

Le Syndicat national des espaces de loisirs, d'attractions et culturels (Snelac), qui réunit plus de 230 adhérents très divers -de Disneyland Paris aux petites structures régionales et familiales en passant par le Parc Astérix ou la Tour Eiffel-, indique ainsi que « plus de 50 % des sites » ont enregistré une diminution de leur fréquentation l'an dernier, tandis que 40 % d'entre eux ont bénéficié d'une hausse, 2 % autres ayant vu leur nombre de visiteurs maintenu.

Fort recul de fréquentation dans le Nord-Ouest

La région Nord-Ouest a probablement été la plus touchée avec près de 70 % des sites en recul. « La fréquentation était en recul de 60 % en cumul au 14 juillet. Finalement, on a terminé la saison sur une baisse de 3%, car août et septembre ont été exceptionnels », relate notamment Hervé Lebel, le dirigeant-fondateur de Festyland, parc à thème à connotation historique situé près de Caen.

« L'année a été difficile jusqu'au début juillet avec des reculs de 10 % à 20 %. Ensuite, la croissance a été supérieure à nos attentes », confirme, de son côté, Olivier Garaïalde, le directeur des opérations du pôle Parcs de loisirs de la Compagnie des Alpes (CDA), le poids lourd français -après Euro Disney et Disneyland Paris -avec Parc Astérix, les complexes Walibi, La Mer de Sable, ou le Futuroscope, dont la CDA est le premier actionnaire. « Après une année 2011 exceptionnelle, 2012 a été plus contrastée », résume le président du Snelac, Arnaud Bennet, par ailleurs patron du parc d'attractions et animalier Le Pal dans l'Allier.

Renouvellement des attractions

Aux dires des exploitants, la bonne résistance du secteur s'explique par sa « dynamique d'investissement » dans l'amélioration du produit et le renouvellement des attractions. A titre d'exemple, Parc Astérix, qui a ouvert l'an dernier un espace thématique autour de l'Egypte avec une nouvelle attraction à sensation, Oz'Iris (un projet de 20 millions d'euros au total), a enregistré une hausse de 8 % de sa fréquentation et de 10 % de son chiffre d'affaires. « La stratégie grands parcs, grandes marques, fonctionne », souligne, plus globalement, Olivier Garaïalde. Mais, comme tient à le préciser Arnaud Bennet, « les petits [parcs, NDLR] investissent aussi et énormément, de 20 % à 25% du chiffre d'affaires pour certains d'entre eux ». Voire plus.

Festyland engage, bon an mal an de 25 % à 30 % de son chiffre d'affaires, soit de 0,5 à 0,7 million d'euros désormais, indique ainsi son dirigeant-fondateur, ce qui le rend serein alors que le contexte économique et social n'est guère reluisant : « On a fait ce qu'il fallait pour être confiant. Ceux qui n'ont pas fait l'effort d'investir vont le payer », estime en effet Hervé Lebel. « Les parcs de loisirs vont rester une valeur refuge, alors qu'il y aura peut-être des arbitrages dans les vacances », ajoute-t-il. Pour les professionnels, le secteur devrait continuer de profiter de la tendance au tourisme de proximité, d'autant que les parcs donnent la possibilité de « retrouvailles en famille » et de « se ressourcer ».

Pas encore de « vraie cassure »

Pour toutes ces raisons, le président du Snelac se montre donc « assez optimiste » pour 2013, sans pour autant masquer ses inquiétudes pour les années à venir. « On n'a pas encore senti de vraie cassure. Mais si la dégradation de la conjoncture continue, je serai moins optimiste », déclare en effet Arnaud Bennet. « On n'est pas immunisé contre la crise », estime, de son côté, le président du directoire du Futuroscope, Dominique Hummel, qui n'écarte pas des « grignotages » dans la clientèle. Pour le grand parc de la Vienne, « la saison va se jouer sur la clientèle à moins de 3 heures de route », explique son dirigeant, c'est à dire celle ayant la possibilité de report la plus importante, tout en étant sensible au coût du transport. De fait, les opérateurs auront une bonne tendance de la saison entre la deuxième quinzaine d'avril et la première quinzaine de mai avec les vacances scolaires et les ponts.

Par CHRISTOPHE PALIERSE Source m.lesechos.fr

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 17:28

Nombre record de 27,5 millions de visiteurs à Tokyo Disneyland sur un an

Le bus amphibie, l'une des attractions du parc Disney de Tokyo.

 

Le parc à thème Tokyo Dinsneyland/ DisneySea a accueilli quelque 27,5 millions de visiteurs entre avril 2012 et mars 2013, un record historique, a annoncé lundi l'opérateur Oriental Land.

Ce résultat marque une progression de 8,5% sur un an, grâce à l'ouverture de nouveaux divertissements géants, comme "Toy story mania", et divers événements saisonniers.

Fréquenté par des Japonais et touristes asiatiques, très apprécié par les enfants et les jeunes femmes, cet immense parc d'attractions à quelques encablures de Tokyo enchaîne les succès depuis sa création en 1983, juste avant la période faste et festive de la bulle spéculative.

Tokyo Disneyland profite du fétichisme de certaines catégories de public nippon pour Mickey et sa ribambelle d'acolytes ainsi que de la nostalgie de ceux qui le fréquentaient jeunes avec leurs enfants et y retournent aujourd'hui seuls ou avec avec leurs petits-enfants.

Tokyo Disneyland fête ses 30 ans cette année avec diverses manifestations commémoratives censées attirer encore plus de curieux et habitués.

Depuis leur création, Tokyo Disneyland et DisneySea (ouvert en 2001) ont totalisé 567,69 millions d'entrées.

Source boursorama.com

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:17

Panique chez la souris aux grandes oreilles et aux gants blancs : Don Rosa, homme connu pour avoir poursuivi les histoires des plus célèbres canards de chez Disney, vient de se faire envoyer sur les roses. Chez Egmont, il publie Why I Quit Comics, qui devrait paraître dans le dernier volume de The Don Rosa Collection. Mais Disney refuse que cet épilogue paraisse...

 

 


 

 

The Don Rosa Collection est un ensemble en 9 volumes de livres qui raconte l'aventure de l'auteur avec la bande dessinée, et plus particulièrement avec Picsou et Donald Duck. Traduites partout dans le monde, les aventures de ces deux palmipèdes ont donné lieu à l'écriture d'une autobiographie, et l'épilogue devait conclure l'ensemble d'une carrière. 

 

« Ce n'était pas un texte que je tenais à écrire, mais c'était nécessaire. Cela nécessitait de revisiter un certain nombre d'émotions et d'expériences désagréables. J'ai retardé cette tâche jusqu'à la dernière minute, mais en septembre 2012, mon temps touchant à sa fin, j'ai écris ce que j'avais à écrire », explique-t-il sur son site.

 

Et l'éditeur Egmont, après plusieurs tractations et négociations, a accepté de faire paraître l'épilogue comme dernier volume de la collection. Bonne nouvelle ? Pas vraiment : Disney a mis son veto. Et finalement, c'est sur internet que le texte paraît, révélant des choses que Don Rosa considère comme plutôt inoffensives. « Cela n'a jamais été mon intention initiale », précise-t-il. 

 

Dans ce texte, il raconte son état de santé, la quantité de travail abattue et bien d'autres choses, sur la naissance de Picsou, de Donald Duck et la manière dont les personnages se sont intégrés à l'univers de Disney. 

 

Victime de Disney, donc, Don Rosa raconte que tous les éditeurs qu'il a croisés lui ont offert de publier n'importe quoi sur un plateau d'argent. « Mais ma réponse a toujours été : N'importe quel personnage que je pourrais créer la semaine prochaine... je n'aurais pas grandi avec lui. Je ne voudrais pas de lui. Mon plaisir est de créer des histoires à partir de ces personnages que j'ai aimés toute ma vie.'. »

 

Raison pour laquelle, plutôt que de claquer la porte de Disney, qui empêche la publication du dernier tome de sa biographie, il a préféré rester, et faire paraître sur Internet le volume qui manque. (via Bleeding Cool)

 Source actualitte.com

 

Disney Refuses To Allow Epilogue To Appear In The Don Rosa Collection

Don Rosa, famed creator on Disney’s Duck range of comics, has seen Disney refuse to allow his planned epilogue “Why I Quit Comics” to appear the final volume of The Don Rosa Collection published by Egmont.

Egmont have however agreed to publish a link to http://career-end.donrosa.de/ in the final volume, which leads to the now unpublished text.

He talks about many reasons, his poor health, his workaholic nature and how he started heavy work at a young age, but it would be the final reason that would cause the problem. Here are some excerpts.

But it’s an unfortunate fact that there have never been, and I ultimately realized there never will be, any royalties paid to the people who write or draw or otherwise create all the Disney comics you’ve ever read. We are paid a flat rate per page by one publisher for whom we work directly. After that, no matter how many times that story is used by other Disney publishers around the world, no matter how many times the story is reprinted in other comics, album series, hardback books, special editions, etc., etc., no matter how well it sells, we never receive another cent for having created that work…

Then one country started producing a series of all-Rosa albums. Another two countries started producing annual all-Rosa pin-up calendars. Then several more countries started producing all-Rosa special hardback editions which became best-sellers. I was called on to do promotional tours to help sell books of my work even though I was never paid royalties on those sales. What? Huh?..

And on these promotional media events when I did press conferences and appearances on national TV talk-shows, some interviewers would privately comment about how nice it must be for me to be getting so rich off something I obviously enjoyed doing so much. Eventually it hit me — all the European fans assumed that I was a millionaire…

Then the publishers took the next inevitable step. A new reprint album of my Scrooge McDuck adventures was not to be titled “SCROOGE McDUCK” #1, but “DON ROSA” #1. The annual “DONALD DUCK CALENDAR” was to become the annual “DON ROSA CALENDAR”…

What I did was hire a lawyer, at no small expense, and copyright my name across Europe and South America. Disney publishers certainly had every right to use my comic stories — those were Disney property. But my name is not Disney property – it is my property…

I did not ask for royalties. I decided to ask simply for an annual fee for the use of my name to sell products…

My publisher Egmont immediately agreed! I suppose they were simply waiting for me to say something. After all, they are a big company… in fact, a non-profit charitable organization… so why would they offer me a fee until I demanded it? …

With the non-Egmont publishers it is a different story. I let them know that they could no longer publish the all-Rosa albums and books using my name to promote them unless they had my permission. All they had to do was ask. But they would not…

So, to this day, that’s why you see all-Rosa book series in France, Brazil, the Netherlands, Italy, Greece and Indonesia (and probably other countries I haven’t found out about) which are attributed to an “anonymous” author…

Fans who did know what an unfair system we Disney comics people work in have often said to me “you’ve made a name for yourself now! Why not stop this thankless work and produce comics of some character that you create yourself?” And publishers have often told me they would publish anything I decided to create for them. But my reply has always been “Any character I might create next week… I would not have grown up with that character. I wouldn’t care about him. My thrill is in creating stories about characters I’ve loved all my life.” I’m a fan.

And that is what Don Rosa is now going back to being…

Source bleedingcool.com

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 20:41
Taper très fort sur le petit peuple pour maintenir la masse à genoux, une stratégie qui fonctionne depuis des siècles. Les peuples sont encore trop moutons pour comprendre semble-t-il, mais il viendra un jour où ça changera!
Amitiés à tous et à toutes
Cyril LAZARO
Quand Mickey envoie Oncle Picsou réclamer ses royalties…

PARIS (NOVOpress) - 972.943 €, une somme… 72 ans de salaire minimum garanti. Mais c’est surtout la somme démentielle réclamée par plusieurs « majors » d’Hollywood ( Columbia, Disney, Paramount, Tristar, Warner et Twentieth Century Fox) et deux syndicats professionnels de la distribution cinématographique à un jeune charentais de 22 ans, Kevin Hanon. Son délit ? Avoir créé un site « annuaire » référençant 1 587 films, permettant ainsi à l’internaute de trouver les liens de téléchargements sur les plateformes ad hoc. L’accès au cinéma pour tous, en somme…

 

Condamné en première instance à deux de mois de prison avec sursis et à l’euro symbolique, le jeune homme croyait avoir échappé au pire. Or, les studios californiens comptent bien ne pas en rester là et lors du deuxième round à la cour d’appel de Bordeaux ont donc, par la voix de leur conseil, demandé réparations des préjudices subis à hauteur de 1.300.000 dollars, soit 972.943 euros.

Pourquoi ce chiffre ubuesque ? Le conseil des parties civiles a établi à 6 millions le nombre de visiteurs ayant visité le site de Kevin entre 2007 et 2010 et à « 20% » la part d’internautes ayant téléchargés abusivement un de ces « divx ». Soit 1.200.000 cybercriminels… Multiplions le tout par la moitié du prix d’un DVD (soit 5,5 € : quote-part correspondant aux droits intellectuels) et grâce à d’autres calculs savants compliqués, vous obtenez … 972 943 €.

Heureusement que les avocats d’outre-Atlantique n’ont pas pris en compte le manque à gagner des distributeurs hexagonaux, à 6,50 € la place dans une salle obscure, soit 7.800.00 euros de perte sèche. Rassurons-nous, les « majors » françaises (notons avec sympathie que les grands distributeurs nationaux, Gaumont, Pathé n’ont pas voulu s’associer à cette farce), ils s’en moquent. Ce qui compte pour eux, c’est récupérer leur argent et uniquement leur argent. Pour Kevin Hanon, délibéré le 7 février prochain à Bordeaux.

Faire un exemple, marquer un grand coup et aussi démontrer l’échec d’Hadopi qui depuis sa création, malgré les 1.150.000 courriels d’avertissements envoyés aux internautes qui ont téléchargé “illégalement” et son budget annuel de 12 millions d’euros, n’a obtenu qu’une condamnation. Condamnation à 150 euros d’amendes pour avoir un morceau de Rihanna. Mazette !

Source fr.novopress.info

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