2 décembre 2009
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Le SDVC syndicat des vieux cons de Disneyland Paris ne peut que se réjouir du communiqué offensif et revendicatif de l'intersyndicale CFDT, CFTC, UNSA.
La généreuse augmentation salariale accordée par la Direction de Disneyland Paris, d'un montant de zéro euro pour tous les salariés, prévue pour l'année 2010, n'est pas acceptable dans une période où la crise précarise l'ensemble des salariés et en particulier les salariés non cadres dont les revenus sont les plus faibles.
Cette politique d'extrême rigueur salariale dont s'exonèrent les dirigeants de l'entreprise qui continuent de s'octroyer des salaires confortables, des bonus, peut-être même des primes exceptionnelles, sans parler des avantages en nature, est une véritable provocation vis à vis des salariés qui eux se privent de manger le midi ou le soir pour joindre les deux bouts.
Certes la situation économique de l'entreprise n'a pas répondu aux attentes ou aux espoirs de progression en termes de chiffre d'affaires, mais l'effort demandé n'est pas réparti équitablement et une fois de plus ce sont les salariés de base qui en font les frais.
Le SDVC ne peut qu'être solidaire avec l'intersyndicale qui s'est constituée, pour demander que la Direction revoit au plus vite sa politique salariale pour 2010.
Le Syndicat Des Vieux Cons appelle les journalistes qui transitent par ce modeste blog à prendre contact avec les représentants syndicaux de l'intersyndicale dont les coordonnées se trouvent dans le communiqué de presse ci-dessous.
intersyndicale.pdf
Les vieux cons
La généreuse augmentation salariale accordée par la Direction de Disneyland Paris, d'un montant de zéro euro pour tous les salariés, prévue pour l'année 2010, n'est pas acceptable dans une période où la crise précarise l'ensemble des salariés et en particulier les salariés non cadres dont les revenus sont les plus faibles.
Cette politique d'extrême rigueur salariale dont s'exonèrent les dirigeants de l'entreprise qui continuent de s'octroyer des salaires confortables, des bonus, peut-être même des primes exceptionnelles, sans parler des avantages en nature, est une véritable provocation vis à vis des salariés qui eux se privent de manger le midi ou le soir pour joindre les deux bouts.
Certes la situation économique de l'entreprise n'a pas répondu aux attentes ou aux espoirs de progression en termes de chiffre d'affaires, mais l'effort demandé n'est pas réparti équitablement et une fois de plus ce sont les salariés de base qui en font les frais.
Le SDVC ne peut qu'être solidaire avec l'intersyndicale qui s'est constituée, pour demander que la Direction revoit au plus vite sa politique salariale pour 2010.
Le Syndicat Des Vieux Cons appelle les journalistes qui transitent par ce modeste blog à prendre contact avec les représentants syndicaux de l'intersyndicale dont les coordonnées se trouvent dans le communiqué de presse ci-dessous.
intersyndicale.pdf
Les vieux cons