A nouveau, un article dans la grande presse. Mediapart vient de publier un article révélant que trois salariées du CCE SNCF viennent d'obtenir 133 000 euros pour harcèlement moral. Après l'enquête approfondie de Capital, c'est une nouvelle pierre dans la dénonciation de la cogestion capitaliste dans l'économie dite "sociale"...
Nous nous excusons auprès de Mediapart (site payant)
de publier ainsi cet article, mais il nous semble essentiel que les syndiqués CGT aient accès à ces informations...
Les hasards du calendrier offrent parfois des surprises désagréables. Le 22 décembre dernier, la CGT publiait sur son site un communiqué qui mettait en cause un Medef «en roue libre» sur le thème de la «violence» et du «harcèlement au travail», réclamant une batterie de mesures parmi lesquelles: «la nullité de toute rupture de contrat résultant d'un harcèlement». Le lendemain, le 23 décembre, le tribunal des prud'hommes de Paris a notifié au comité central d'entreprise (CCE) de la SNCF trois condamnations pour harcèlement moral.
Et qui dirige le CCE de la SNCF, un mastodonte au budget annuel de près de 50 millions d'euros? La CGT.
Au total, la direction du CCE a été condamnée à verser 133.000 euros à trois anciennes salariées reconnues victimes de harcèlement moral, comme l'attestent les jugements dont Mediapart a obtenu copie.
L'histoire de ces trois femmes, toutes d'anciennes comptables de la direction financière du CCE, ne laisse pas d'interroger.
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