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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 11:27
Disney lance son nouveau concept de boutique à Lyon
Un paradis à portée de main des enfants. Stéphane Guiochon

Un paradis à portée de main des enfants.

Commerce. Une première en France. Le nouveau concept de Disney Store, le seul en France, ouvre demain matin dès 11 heures au centre commercial de la Part-Dieu.

Dès demain, petits et grands devraient ouvrir très grands les yeux en découvrant le nouveau concept de Disney Store unique en France. Lequel s’inspire selon Jean François Camilleri, président de « The Walt Disney Company » France « des rêves et de l’imagination des enfants. ». Le Disney Store promet de faire vivre une expérience féerique à ses jeunes invités comme les Apple Store suggèrent une expérience technologique aux adultes.

À peine entré dans le monde chimérique et parfumé du Disney Store, petites et grandes pourront pénétrer dans un château de princesse et rencontrer d’un coup de baguette magique agitée face à un miroir, tout aussi magique, leur princesse préférée Cendrillon, la Belle au bois dormant, Blanche-Neige etc.

Moins obnubilés par les contes de fée et attirés, surtout, irrésistiblement par « Buzz l’Eclair « ou les voitures radio-commandées « Cars » les garçons emprunteront le chemin bleu de poussière de fée la tête en l’air pour voir apparaître, dans la ligne d’horizon qui orne les murs, tous les personnages de Disney qui disparaissent et disparaissent au rythme des scénarios et de la musique d’ambiance imaginés par la firme américaine.

Des scénarios qui sortent des six arbres qui jalonnent le magasin, qui scintillent au gré de la journée, des saisons et des humeurs des personnages. Dans l’arrière-boutique, petits et grands peuvent continuer à s’émerveiller « à vivre, selon Jean-François Camilleri, président de The Walt Disney Company France, les 30 plus belles minutes de leur journée », en pénétrant dans le théâtre Disney Store. Un théâtre de leurs rêves où ils peuvent via des écrans tactiles choisir leurs extraits vidéo ou musiques préférées, participer à un quizz, se faire raconter de belles histoires par les conteuses du Disney store, apprendre à dessiner Mickey, Némo ou le Prince Naveen ou encore s’initier aux rudiments de la parade Disney. Avant de s’en aller parader, show à l’américaine oblige, dans le magasin sous les yeux ébahis de leurs parents.

Franck Bensaid Source leprogres.fr
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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 17:50

Si vous n'avez jamais vu la magie que peut évoquer Disney pour les enfants, regardez cette vidéo dans son intégralité. Un grand moment d'émotion, comme seuls les enfants savent nous en réserver.

Amitiés à tous et à toutes

Cyril LAZARO

 



Source koreus.com
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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 06:30
Le Monde enchanté : la vérité sur le système Disney
 Le Monde enchanté : la vérité sur le système Disney

 

Un incroyable livre-enquête revient sur les coulisses du monde merveilleux de Disney. Une tragédie grecque au pays du capitalisme sauvage. Brillant !

Ne vous laissez pas abuser par le titre : il y a une montagne d’ironie dans Le monde enchanté, le livre de James B Stewart qui raconte les vingt ans de règne de Michael Eisner depuis son entrée comme PDG chez Disney en 1984 jusqu’au vote sanction des actionnaires qui refusent de renouveler son contrat en 2005.

Pourtant, avec le recul, le bilan d’Eisner est franchement positif : entre son arrivée et son départ, l’entreprise a connu une croissance économique extraordinaire, comme l’indiquent les chiffres. L’action est passée de 1,33 dollars en 84 à 25 en 2004, et les recettes étaient de 1,6 milliards de $ en 84 contre 30 milliards  vingt ans plus tard. Sans l’ombre d’un doute, Eisner a ranimé une compagnie qui, à son arrivée, était en voie de momification. Mais s’il est indiscutable qu’il a contribué à mettre en place une dynamique sans précédent, il a aussi sûrement contribué à la saboter à partir des années 90 pour des raisons purement personnelles et mesquines.


A son arrivée en 1984, Eisner sortait de chez Paramount, et  il s’est entouré de gens qui lui ressemblaient : ambitieux, énergiques et créatifs, comme Jeffrey Katzenberg, avec lequel il formait un duo extrêmement productif. En très peu de temps, ils ont fortement développé le département cinéma, revitalisé l’animation et entrepris de moderniser les parcs Disney dans le monde. Pendant quelques années, la nouvelle direction a engagé une série d’actions extrêmement rentables.
Les choses ont commencé à dégénérer aussitôt après la mort inattendue de Frank Wells, le directeur délégué. Personne ne s’en rendait compte de son vivant, mais son autorité était capitale : il arbitrait les conflits, assurait la circulation de l’information et oeuvrait dans l’intérêt collectif. Une fois Wells disparu, l’équilibre était rompu. Michael Eisner a pris le melon, et, tel un dictateur, s’est cru investi d’une mission que lui seul pouvait mener à bien. C’est pourquoi il a soigneusement évité de préparer sa succession, et  s’est entouré de sycophantes. Surtout, il s’est débarrassé de tous ceux qui pouvaient lui faire de l’ombre, à commencer par Jeffrey Katzenberg, qu’il a harcelé de toutes les façons possibles avant de le virer comme un malpropre. Le problème, c’est que Katzenberg avait un égo aussi développé qu’Eisner , sans compter des amis puissants. Aussitôt dehors, Katzenberg  a fondé SKG avec Steven Spielberg et David Geffen, et son studio d’animation Dreamworks, a été ouvertement conçu comme une machine de guerre pour concurrencer Disney et Pixar sur leur propre terrain. D’autre part, Katzenberg avait bien l’intention de réclamer la prime à laquelle il avait droit, mais qu’Eisner avait refusé de lui verser. Le procès qui s’en est suivi a donné raison à Katzenberg, forçant les actionnaires de Disney à débourser la somme faramineuse de 280 millions de dollars pour un caprice d’ego uniquement imputable à Eisner, qui aurait économisé au groupe des dizaines de millions s’il avait joué selon les règles.


Un autre scandale concerne l’embauche de Michael Ovitz, ancien agent de stars, au poste de vice-président. Eisner pensait qu’en nommant un de ses proches amis, il aurait la paix, mais le fiasco a été total. Incapable de faire confiance à quiconque, Eisner n’a laissé aucune marge de manœuvre à Ovitz qui s’est vite senti surveillé, neutralisé et inutilisé. Malgré ses efforts pour s’imposer, il a été viré au bout d’un an, pour un coût excessif (140 millions), épongé une fois de plus par les actionnaires.

Les dix années suivantes ont été marquées par la tyrannie, la paranoia et la mégalomanie d’Eisner, qui a fait le vide autour de lui. Le résultat s’est soldé par une baisse de la rentabilité et un exode massif des cadres les plus inventifs. Du coup, certains projets nés chez Disney sont passés chez les concurrents, tandis que les projets qui finissaient quand même par se faire chez Disney se faisaient sans leurs concepteurs, virés entretemps.


Par certains côtés, Michael Eisner était un Saddam Hussein de l’industrie, et le journaliste James B Stewart a accompli sur ce sujet un travail d’investigation titanesque. Dans la forme, on a l’impression de lire un roman écrit par un narrateur invisible qui aurait assisté à toutes les réunions les plus secrètes et les a retranscrits dans leur substance.  Même s’il a trouvé une grande partie de ses informations dans les compte-rendus publics des procès, la richesse de sa documentation est colossale. On a pris l’habitude de ce genre de saga qui raconte  de l’intérieur l’histoire récente du cinéma, mais le livre de Stewart va plus loin. Il évoque bel et bien les coulisses de quelques-uns des films marquants de cette période (sensiblement la même que Sexe mensonges et Hollywood de Peter Biskind, soit les années Sundance et Miramax), et couvre notamment la montée en puissance de Pixar. On apprend à quelle sortes de discussions les projets ont donné lieu, comment ils se sont faits, comment certains ont failli ne pas se faire parfois parce qu’Eisner n’y croyait pas. Mais à travers Disney, Le royaume enchanté raconte aussi le fonctionnement des grandes sociétés américaines par actions, du point de vue des plus hauts dirigeants.

C’est l’aspect le plus incroyable du livre : voir à quel point l’humain peut parasiter des décisions capitales. Eisner avait un certain flair, mais sa clairvoyance était parfois neutralisée par la haine qu’il éprouvait pour ses ennemis. Stewart a beau être un journaliste spécialisé dans l’économie, il a bien compris que plus le méchant est réussi, meilleur est le film. C’est aussi valable pour un livre.

Source experts.premiere.fr

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 10:16

Parcs à thème : Fillon pris à contre-pied

Le plan Fillon antidéficit est remis en cause par les amis – nombreux – des « parcs à thème », Disney en tête.

Les parcs à thèmes refusent la hausse de la TVA

Les parcs à thèmes refusent la hausse de la TVA

 

Qui aurait imaginé cela ? C’est à cause de l’augmentation envisagée de la TVA sur les billets d’entrée dans les parcs à thème (Disney, le Futuroscope, le Puy du Fou) que Nicolas Sarkozy rencontre le plus de problèmes depuis la présentation par François Fillon, le 24 août à Matignon, d’un premier « plan de rigueur » destiné à lutter contre la dette et les déficits publics. A cause des parcs en question, en effet, ça tangue à droite.

D’où la colère du chef de l’Etat, qu’il n’a pas cherchée à dissimuler hier à l’Elysée. Officiellement, il est en colère contre une personne en particulier, et une seule : Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, sénateur de la Vienne et premier vice-président du Conseil national de l’UMP. Motif : sous prétexte de défendre le Futuroscope, dont il est historiquement l’un des « pères », Raffarin s’en est pris avec violence au mini-plan de rigueur présenté de Fillon. Un « plan » qui prévoit de faire passer le taux de TVA des billets d’entrée de 5,5 % à 19,6 %.

« On peut avoir des arguments contre cette mesure », a admis le président de la République. Mais d’ajouter aussitôt : « Comment ose-t-on dire que cette mesure revient à attaquer les pauvres ? » De fait, dans son élan pro-Futuroscope, Raffarin n’avait pas hésité à parler d’une « erreur sociale », assurant que ce type de parcs « sont des vacances pour des gens qui ne partent pas en vacances… ».

La réplique de Raffarin

« Trop, c’est trop », a répliqué hier, cinglant, le chef de l’Etat, accusant Raffarin d’« irresponsabilité ». Peu après, l’intéressé a rectifié en partie le tir, ne cédant rien sur le fond, mais glissant un peu de miel dans ses phrases. Le « plan Fillon » – 11 milliards d’euros d’économies au total – oui, c’est « utile ». Mais il aurait mieux valu, persiste Raffarin, qu’il soit précédé d’une « concertation en amont », ce qui aurait permis aux élus de faire valoir au gouvernement qu’en voulant augmenter de 15 points la TVA l’Etat allait perdre par la baisse de la fréquentation ce qu’il espérait gagner par ailleurs.

Le plus extraordinaire dans ce dossier des « parcs à thème », c’est que l’affaire du Futuroscope n’est rien à côté de celle de Disney car, cette fois, égarés par les technocrates de Bercy, le gouvernement a carrément « oublié » que, par contrat, il n’avait pas le droit de toucher aux taux de TVA de Mickey.

D’où, au-delà de Raffarin, la triple colère du président : contre une majorité qui se fissure au premier « parc à thème » venu ; contre les technocrates qui n’a pas vu l’écueil Disney ; contre les lobbies, déchaînés. Et, pendant ce temps, la dette de la France s’accroît jour après jour…

Source francesoir.fr

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 08:47
Disney, l'enfer enchanté 

Michael Eisner n'avait jamais vu un film Disney avant d'atteindre l'âge adulte
Michael Eisner n'avait jamais vu un film Disney avant d'atteindre l'âge adulte

LIVRE - Dans une enquête truffée de révélations, le journaliste James B. Stewart dévoile les coulisses de l'entreprise sous le règne de Michael Eisner, de 1984 à 2005. 

De Disney, on connaît la partie émergée : un royaume enchanté peuplé de créatures célèbres dans le ­monde entier, de véritables archétypes, déclinées sous toutes les formes, du personnage sur grand écran à l'attraction pour parcs de loisirs. Aucune autre entreprise n'a autant façonné l'imaginaire collectif que celle de Disney. En inventant le premier dessin animé parlant, le père de Mickey était loin de se douter qu'il donnerait naissance à un mastodonte du divertissement de l'ère globalisée. Car la Walt Disney Company n'est plus depuis longtemps un simple studio d'animation. C'est devenu une marque. Le groupe a acquis des chaînes de télévision (ABC, ESPN), pris position dans le cinéma traditionnel, s'est lancé dans l'immobilier et la production de comédies musicales. Cette mutation, Disney l'a opérée de 1984 à 2005 sous l'impulsion d'un PDG aussi charismatique que déroutant, Michael Eisner.

Ce grand gaillard optimiste et éner­gique avait 42 ans quand il a été débauché de son poste de PDG de Paramount ­Pictures (Star Trek, Saturday Night ­Fever). Auparavant, il avait été responsable du développement des programmes de la chaîne ABC. De son bizutage chez Disney à sa chute, le journaliste ­James B.Stewart l'a suivi à la trace. Le fruit de son enquête est un document passionnant de plus de 700 pages, Le Royaume enchanté, qui a valu à son auteur le prestigieux prix Pulitzer. «Ce livre est tellement bon que, selon moi, plus personne n'écrira - ou n'aura même envie d'écrire - désormais sur le sujet !», a déclaré Bob Woodward, un des journalistes à l'origine de l'affaire du Watergate. On ne peut mieux dire. Le Royaume enchanté est à ranger à côté du Nouvel ­Hollywood, la formidable enquête de ­Peter Biskind.

140 Oscars sous le règne d'Eisner

James B. Stewart a, comme on dit, asséché le sujet. Tel un détective, il a épluché des ­milliers de documents (mails, mémos, courriers), interrogé des centaines de témoins. Il n'est pas inutile de posséder quelques notions d'économie pour le ­suivre : il est beaucoup question d'acquisitions et de stock-options (la traduction n'est d'ailleurs pas toujours rigoureuse sur ces points). Mais on en apprend aussi beaucoup sur la ­genèse des films et la manière de travailler des réalisateurs. Au-delà du cas Disney, ce document constitue une extraordinaire plongée au cœur de la révolution média­tique et technologique qu'a provoquée l'essor du numérique.

Le bilan d'Eisner selon Stewart? «Il est incontestable que les graines de la ­renaissance créative et financière de Disney ont presque toutes été plantées lors des premières années du mandat d'Eisner», écrit-il. Le chiffre d'affaires de Disney est passé, en vingt ans, de 1,6 à 30 milliards de dollars, et le cours de l'action de 1,33 à 25 dollars. Sur le plan artistique, La Petite Sirène et La Belle et la Bête sont ­devenus des classiques, sans parler du triomphe du Roi Lion. Pourtant, quand il a pris les rênes du groupe, Eisner voulait fermer le département animation… Son complice Jeffrey Katzenberg l'en a dissuadé. Avant de racheter en 2006 à Steve Jobs les studios d'animation Pixar, spécialisés dans l'image de synthèse (Wall-E, Là-haut, Cars), Disney a coproduit avec eux des films comme Toy Story, qui ont marqué un tournant.

Mais c'est dans le cinéma traditionnel qu'Eisner a négocié le virage le plus important. Il s'est affranchi peu à peu des valeurs familiales traditionnelles de Disney pour produire des divertissements plus commerciaux. «Nous n'avons pas obligation de faire de l'art…», répétait-il. C'est dans ce contexte qu'a vu le jour un long-métrage comme ­Pretty Woman, avec Richard Gere et Julia Roberts. «Ce sera une catastrophe. Je n'ai pas besoin de le voir pour dire que ce sera un échec», avait pourtant prédit Eisner. Sous son règne, Disney a récolté pas moins de 140 oscars. Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Le Cercle des poètes disparus et Pirates des Caraïbes comptent parmi ses succès.

Un crime de lèse-majesté 

Malgré ces réussites, la colonne du passif est chargée. Au rayon des loupés, James B. Stewart reproche à Eisner d'avoir rejeté Le Seigneur des anneaux et, dans les séries télé, d'être passé à côté des Experts. Ses dépenses «inconséquentes» pour Euro Disney sont pointées du doigt (voir encadré), tout comme l'acquisition de la chaîne Fox Family. «Une seule erreur de cette taille aurait suffi à faire sauter tout PDG», peste l'enquêteur. De manière générale, c'est un management centralisé et ­paranoïaque qui est mis en cause.

Eisner a commis un crime de lèse-majesté : il s'est pris pour l'héritier de Walt Disney. Au point d'insister pour présenter l'émission télévisée Le Monde merveilleux de Disney, comme Walt. Un comble quand on sait qu'Eisner n'avait jamais vu un film Disney avant d'atteindre l'âge adulte.

Tel le dieu Cronos, Eisner a dévoré les uns après les autres ses seconds, de peur qu'ils le détrônent. Sa rupture avec son ex-bras droit Jeffrey Katzenberg est de ce point de vue éloquente. À côté, La Guerre des Rose, c'est Hélène et les Garçons. Il formait pourtant un sacré tandem avec ce producteur, qui a ensuite créé les studios DreamWorks (Shrek) avec Steven Spielberg. Steve Jobs et les frères Weinstein (dont Disney avait racheté la société de production Miramax) n'ont pas de mots assez durs pour fustiger la mauvaise foi d'Eisner. Alors qu'il est en train d'être dépossédé de son pouvoir, le PDG confie à l'arrière de son 4×4 aux vitres fumées qu'il n'aura pas de successeur. Le Roi lion ? Non, le roi Lear.

«Le Royaume enchanté», de James B. Stewart. Traduit de l'anglais (États-Unis) par Barbara Schmidt. Sonatine, 779 p., 23,50 €.

 


Euro Disney, l'obsession d'Eisner

Dans Le Royaume enchanté, James B. Stewart raconte de l'intérieur dans quelles conditions a été lancé le parc Euro Disney de Marne-la-Vallée. Outre les coûts «étourdissants» (4 milliards de dollars contre 1,3 budgétés), l'auteur critique les multiples erreurs d'appréciation du PDG de Disney tout au long du développement du projet. «Depuis le départ, écrit-il, Eisner donnait l'impression de rechercher l'approbation critique des Européens : sa coûteuse quête de la perfection lors de la construction du parc venait principalement de là.» Pour respecter la date d'ouverture prévue, le 22 avril 1992, il fallut faire venir en avion 500 employés Disney des parcs américains. Ils travaillèrent dix-huit heures par jour pendant quatre mois.

Par Sébastien Le Fol
Directeur adjoint de la rédaction, Le Figaro

Source lefigaro.fr

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 06:33

La valeur du jour à Wall Street - DISNEY plus forte baisse du Dow Jones
(AOF) - Disney (-10,63% à 31,01 dollars) affiche de loin la plus forte baisse de l'indice Dow Jones. Si aux premiers abords, les résultats du groupe de divertissement semblaient bien meilleurs que prévu, il s'agissait d'une fausse impression. Le groupe a en effet enregistré plus tôt que prévu des ventes réalisées par ESPN (chaînes du câble spécialisées dans le sport). En retraitant cet élément, les résultats ne dépassent plus les attentes, selon certains analystes. En outre, Disney risque d'être pénal isé par le ralentissement économique en cours qui pourrait pénaliser son activité de parc à thèmes.
Plusieurs brokers ont ainsi réduit leur objectif de cours après cette publication. Credit Suisse a abaissé le sien de 48 dollars à 43 dollars.
Au troisième trimestre, clos début juillet, Disney a vu son bénéfice net progresser de 11% à 1,475 milliards de dollars, soit 77 cents par action. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action est ressorti à 78 cents. Le chiffre d'affaires a augmenté de 7% à 10,667 milliards de dollars.
Plus révélateur de la santé du groupe, le résultat opérationnel a augmenté de 8% à 2,731 milliard de dollars. Le résultat opérationnel de sa plus importante division, les réseaux médias (télévision), a augmenté de 11% à 1,2,094 milliards de dollars grâce notamment à la performance publicitaire de son réseau ABS et à des réductions des coûts de production et de programmation.
L'activité parcs à thèmes a, elle, enregistré une progression de 12% à 3,17 milliards de dollars de ses ventes et de 9% à 519 millions de dollars de son résultat opérationnel. Elle a bénéficié d'une fréquentation plus élevée et des dépenses plus importantes des visiteurs.
En revanche, le résultat opérationnel de la division cinéma/vidéo a chuté de 60% à 49 millions de dollars. Les performances des films Cars 2 et Thor ont été inférieures à celles de Toy Story 3 et Iron Man 2 au troisième trimestre 2010. La bonne performance du quatrième Pirates de Caraïbes a, elle, été comparable à celle d'Alice au pays des merveilles à la même époque l'an dernier.
Le segment Consumer Product a vu son résultat opérationnel augmenter de 32% à 155 millions de dollars. Quant à la division Internet (Interactive Media) a creusé ses pertes, 86 millions de dollars contre 65 millions de dollars, un an plus tôt.

Source bourse.lci.fr

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 17:13
Disney publie des résultats trimestriels supérieurs aux attentes

LOS ANGELES (Reuters) - Walt Disney a fait état mardi de résultats trimestriels supérieurs aux attentes à la faveur de recettes publicitaires solides sur ses réseaux câblés, une annonce qui fait monter l'action du groupe de médias de 3% dans des échanges d'après-Bourse.

La branche médias de l'entreprise américaine, qui comprend le réseau de télévision ABC et la chaîne de sport ESPN, a vu ses revenus augmenter de 5% à 4,95 milliards de dollars sur le troisième trimestre de l'exercice fiscal 2010-2011.

Le chiffre d'affaires de la division parcs d'attraction - qui inclut tous les "Disneyland" à travers le monde - a augmenté de 12% à 3,2 milliards sur la période.

Les activités studios de cinéma ont en revanche vu leurs revenus baisser de 1% à 1,62 milliard de dollars malgré les succès commerciaux du quatrième volet de la saga "Pirates des Caraïbes" et de "Cars 2".

Au total, le chiffre d'affaires de Disney est ressorti à 10,68 milliards de dollars alors que les analystes financiers avaient anticipé 10,5 milliards, selon Thomson Reuters I/B/E/S.

Le bénéfice net est ressorti à 1,48 milliard de dollars, soit 0,77 dollar par action contre 1,33 milliard (0,67 dollar/action) il y a un an. Hors éléments exceptionnels, le résultat par action s'est établi à 0,78 dollar par action contre un consensus de 0,73 dollar.

Disney, comme un certain nombre de ses concurrents, a profité d'un bond des recettes publicitaires, qui a notamment bénéficié à ESPN.

Comcast, Time Warner et CBS avaient également fait état de résultats trimestriels meilleurs que prévu.

Les analystes financiers craignent toutefois qu'un ralentissement économique n'incite les annonceurs à diminuer leurs dépenses publicitaires.

Dans le cas de Disney, les experts redoutent qu'une croissance économique faible n'entraîne une baisse des entrées des parcs à thème.

Source tempsreel.nouvelobs.com

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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 10:22

La Russie va construire un vaste complexe touristique, premier du genre dans l'histoire du pays, comprenant plusieurs parcs d'attraction. "Magic World Russia" couvrira 242 hectares, à 50 km de la capitale, selon une annonce des responsables du site.

Conçu par l'équipe à l'origine du Galaxy Macau Casino Resort, qui a ouvert en mai dernier, l'immense complexe comprendra plusieurs parcs à thèmes et des hôtels, pour encourager les visiteurs à séjourner plusieurs nuits sur place.

Il comprendra un parc d'attraction hollywoodien, Disney ou Universal, un parc familial pour les plus jeunes, deux complexes aquatiques et un Nanopolis Children's Park.

Les designers, qui ont aussi contribué au monumental Ferrari World à Abu Dhabi, promettent également un parc dédié aux sports extrêmes, ainsi qu'un autre, thématique, qui s'intéressera au folklore et à l'histoire russes.

Enfin, le dispositif comprendra en outre le premier parc dédié aux enfants handicapés, appelé "World Without Boundaries" ("Un monde sans limites").

Côté hôtellerie, les plus grandes chaînes seront présentes, selon les responsables. Hotels Magazine a précisé qu'un établissement cinq étoiles de 1.700 chambres et un autre de moyenne gamme de 1.750 chambres feront partie de l'offre.

80% de la surface du parc sera couverte, pour permettre aux visiteurs d'en profiter toute l'année. Magic World Russia proposera aussi des centres commerciaux et un théâtre de 15.000 places.

La construction du complexe devrait débuter courant 2012. Il prévoit d'accueillir entre 10 et 12 millions de visiteurs par an dès 2016, année de son inauguration.

Source leparisien.fr

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29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 06:32

Val d’Europe : nouveau programme immobilier

Le promoteur CFH, filiale des Nouveaux Constructeurs, OGIF et Euro Disney Associés S.C.A., ont inauguré ce mardi le programme immobilier "Le Domaine du Trianon", situé à Magny-le-Hongre, en Seine-et-Marne.  Ces 73 logements viennent compléter l’offre résidentielle de Val d’Europe.

Les deux premières tranches du programme seront livrées en juillet 2011 et seront composées respectivement de 12 maisons individuelles, 26 maisons de ville ainsi que d’un collectif de 8 appartements pour la première phase, et de 11 maisons individuelles et d’un collectif de 9 appartements pour la seconde.  Les 26 maisons de ville de la première tranche du programme ont été vendues en bloc à la société OGIF.

La troisième tranche du programme sera livrée en septembre 2011 et comportera 7 maisons individuelles.

Les nouveaux résidents bénéficieront de tous les attraits de Val d’Europe, à savoir la qualité de vie, l’accès à de nombreuses infrastructures modernes comme le 1er hub TGV de France et des services de proximité tels que le centre commercial international.

Source directgestion.com

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15 juin 2011 3 15 /06 /juin /2011 06:38

"Princessisation" est naturellement un nouveau terme que j'ai du inventer pour l'occasion. C'est une sorte de béatification mode Disney pour un personnage dont le succès planétaire lui permet de briller au firmament des stars de la Walt Disney Company.

J'espère que cet article obtiendra l'approbation de tous les fans du Disney Marketing avec qui j'ai eu maille à partir dernièrement.

Amitiés à tous et à toutes

Cyril LAZARO

 

Disney annonce des festivités mondiales en l'honneur de Raiponce, la 10e membre de la cour royale Disney Princess

 

La « consécration royale de Raiponce » se déroulera au Kensington Palace de Londres, Royaume-Uni

Les jeunes filles du monde entier et tous les personnages Disney Princess participeront aux festivités

Disney annonce des festivités mondiales en l'honneur de Raiponce, la 10e membre de la cour royale Disney Princess

Disney accueillera officiellement Raiponce en tant que 10e personnage Disney Princess lors d'une célébration prestigieuse et étoilée qui se déroulera devant un auditoire mondial le 2 octobre 2011. Les petites princesses du monde entier admireront Raiponce qui sera accueillie au sein de la cour royale Disney Princess par Ariel, Aurore, Belle, Cendrillon, Jasmine, Mulan, Pocahontas, Blanche Neige et Tiana.

Rapunzel's royal celebration (Photo : Business Wire)

Rapunzel's royal celebration

À l'occasion de cette première mondiale, Disney a choisi le Kensington Palace de Londres, Royaume-Uni, pour cette cérémonie de bienvenue magique en l'honneur d'une Princesse Disney, car le lieu a déjà accueilli de nombreuses princesses de la vie réelle au cours de son histoire.

« Une fois Raiponce devenue membre officielle de la cour Disney Princess, elle sera célébrée et reconnue comme telle dans l'univers Disney et sera intégrée à tous les produits Disney Princess comportant déjà des personnages multiples, en plus de sa propre gamme de produits. Par ailleurs, dans l'ensemble des parcs Disney, Raiponce portera pour la première fois son diadème royal, volé au royaume par Flynn Rider dans le film Raiponce, » a déclaré Mary Beech, vice-présidente chargée du développement et du marketing de la franchise filles chez Disney Consumer Products. « Londres, ville symbole qui connaît une chose ou deux à propos de la diffusion des célébrations royales pour un auditoire mondial, semblait la seule ville à même de mettre en scène l'intronisation de Raiponse et son entrée dans notre propre court royale Disney Princess. Nous invitons les jeunes filles du monde entier à accueillir chaque personnage Disney Princess au palace et à célébrer avec Raiponce cette journée spéciale. »

L'organisation caritative indépendante Historic Royal Palaces s'est associée à Disney pour la mise en scène de cet évènement, une collaboration qui vise à encourager les enfants du monde entier à découvrir les histoires des rois, reines, princes et princesses de la vie réelle aux côtés de celles des personnages Disney. « Notre but est d'aider chacun à découvrir comment les monarques et autres membres de familles royales ont façonné la société, dans certains des plus beaux palaces jamaisconstruits, » a déclaré Ruth Gill, responsable de l'interprétation pour Historic Royal Palaces. « Le Kensington Palace a toujours été un lieu de spectacle, de beauté et de majesté, et a abrité de nombreuses princesses inspiratrices de la vie réelle. Nous sommes donc ravis de fêter notre relation avec Disney en hébergeant cet évènement magique pour honorer l'arrivée de Raiponce comme 10e membre de la cour royale Disney Princess. »

Les dix Princesses Disney participeront à cette célébration royale et seront rejointes par des VIP, des célébrités et des petites princesses du monde entier dans des festivités qui comporteront notamment une procession dans Hyde Park, des animations et une cérémonie de bienvenue.

Chaque personnage Disney Princess a une histoire unique qui invite les jeunes filles à imaginer et à vivre leurs propres aventures féériques. Raiponce est une héroïne moderne?elle a peut-être vécu toute sa vie enfermée dans une tour mystérieuse, mais elle n'est pas une demoiselle en détresse. La fille à la chevelure brillante et magique de 70 pieds de long est une jeune femme énergique et curieuse qui emplit ses journées d'art, de lectures et d'imagination. Elle est pleine de curiosité sur le monde extérieur et ne peut s'empêcher de penser que son véritable destin est hors des murs de sa tour solitaire.

Le Kensington Palace est une des résidences de la famille royale britannique depuis le 17e siècle et est célèbre pour ses associations à des princesses. La princesse Victoria (future reine Victoria, monarque britannique au règne le plus long) naquît au Kensington Palace le 24 mai 1819 et fut baptisée le mois suivant dans la salle de la Coupole. Son amour pour le palais s'est concrétisé dans la rénovation des appartements d'État en 1897 et leur ouverture au public à l'occasion du 80e anniversaire de la reine Victoria. Aujourd'hui, certaines parties de Kesington Palace continuent de servir de résidence aux membres de la famille royale. L'occupante la plus connue de notre histoire récente fut Diana, princesse de Galles, qui a occupé les appartements de l'aile nord-ouest du palais entre 1981 et 1997.

Notes d'édition

  • Raiponce sera officiellement accueillie en tant que dixième Princesse Disney le 2 octobre, le calendrier et le programme des festivités seront rendus publics au mois d'août.
  • Des images de l'évènement seront diffusées.
  • Raiponce (titre original : Tangled) figure dans le top dix des films Disney devant Toy Story, La belle et la bête, Cars et Toy Story 2.

À propos de Disney Consumer Products

Disney Consumer Products (DCP) est la division de The Walt Disney Company (NYSE : DIS) et sa filiale chargée d'élargir la marque Disney à des produits allant de l'habillement, des jouets, de la décoration d'intérieur et des livres et magazines aux produits alimentaires et boissons, produits de papeterie, produits électroniques et de beaux-arts. Cela est concrétisé au travers des différentes branches de DCP, qui comportent notamment : Disney Toys, Disney Fashion & Home et Disney Food, Health & Beauty. D'autres entités participent aux ventes de produits grand public de Disney, notamment Disney Publishing Worldwide, premier éditeur mondial de livres et demagazines pour enfants, www.DisneyStore.com et www.DisneyStore.co.uk, les portails officiels de vente de la société. La chaîne de boutiques de détail Disney Stores, créée en 1987, appartient et est exploitée par Disney en Amérique du Nord, en Europe et au Japon. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur www.disneyconsumerproducts.com ou suivez-nous sur www.youtube.com/disneyliving, www.facebook.com/disneyliving et www.twitter.com/disneyliving.

À propos d'Historic Royal Palaces

Historic Royal Palaces est une organisation caritative indépendante qui veille sur la Tour de Londres, Hampton Court Palace, Kensington Palace, la maison des banquets (Banqueting House)et Kew Palace. Nous aidons le public à explorer l'histoire des monarques et des personnages historiques qui ont façonné notre société, dans les plus beaux palais jamais construits.

Nous ne recevons aucun financement, ni du gouvernement ni de la Couronne britannique, nous dépendons donc du soutien de nos visiteurs, de nos membres, donateurs, volontaires et promoteurs. Ces palais sont la propriété de la Reine pour le compte de la nation, et nous les gérons pour le compte du Secrétariat d'État à la culture, aux médias et au sport. Nous adhérons à quatre grands principes : tutelle : offrir à ces palais un avenir aussi long et valorisant que l'a été leur passé ; découverte : encourager le public à faire le lien entre sa propre vie et le monde d'aujourd'hui ; mise en scène : faire toute chose avec panache ; indépendance : défendre notre propre point de vue et découvrir de nouvelles façons d'aborder notre travail. www.hrp.org.uk. Oeuvre caritative enregistrée sous le numéro 1068852.

Photos/Galerie multimédia disponibles : http://www.businesswire.com/cgi-bin/mmg.cgi?eid=6758453&lang=fr

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

 

 

 

Disney Consumer Products

Source bourse.lci.fr

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