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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 19:04
Randstad Intérim, c'est pas joli, joli, la CGT !

D'abord, il faut bien comprendre.
L'intérim, ce sont deux domaines liés mais quand même bien différents :
  • Le personnel permanent des entreprises d'intérim (Manpower, Randstad, Adia, Adecco, CRIT, Man BTP etc.)
  • Et le personnel intérimaire de ces mêmes sociétés.
Et ce n'est pas tout à fait la même chose.
Si le syndicalisme parmi le personnel permanent des sociétés d'intérim s'apparente au syndicalisme traditionnel de n'importe quelle société du privé, le syndicalisme parmi les intérimaires, c'est spécial. Très spécial.
Voire très très glauque.
Il y a quelques années, les syndicats avaient présenté comme une grande victoire l'élargissement
du droit syndical aux intérimaires. Or quand on connaît concrètement ce qu'est la précarité et le travail temporaire, on pouvait craindre le pire - et il est arrivé.

Dans certaines sociétés d'intérim, certains intérimaires ont sauté sur l'occasion pour cumuler l'ensemble des mandats (style DSC + DS + CE + DP + CHSCT) avec des heures de délégations monstrueuses 110h par mois par exemple, sans compter les heures de réunions, multipliées à dessein avec la complicité des directions qui ont ainsi trouvé le moyen d'être tranquilles. Certains "syndicalistes" cumulent ainsi jusqu'au delà de 200h par mois d'horaires déclarés au mépris du droit du travail mais pas du porte-monnaie qui peut monter jusqu'à plus de 3000 €. D'autant que ces heures sont payées au taux de la dernière mission qui peut être complètement bidon comme "une heure d'assistant" chez un avocat conseil, payée grassement...
Certains de ces "syndicalistes" n'ont ainsi jamais effectué une seule véritable mission d'intérim sur le terrain depuis des années et des années, et vivent comme de véritables permanents bureaucrates à s'occuper du CE ou autres activités. Une véritable rente de situation, on le comprend.

Tant qu'il ne se passe rien, l'affaire n'a somme toute pas plus d'importance que cela dans le champ de la
corruption syndicale ordinaire. "Le ver est aussi dans le fruit syndical" titraient nos camarades des Mines de Lorraine...
Là où ça se complique, c'est quand il y a un problème et que nos prétendus "syndicalistes" sont confrontés à la lutte des classes, la vraie, face au patron. Et là, la matérialité de la corruption conduit évidemment à la trahison.

"Pas chez nous" entendons-nous déjà !!! La CGT est à l'abri de ce genre de collusion, réservée aux autres, CFDT, FO, CFTC etc. En êtes-vous si sûrs ???
Nous allons maintenant sortir du général pour parler concret.

Mars 2009 : à la faveur de la crise qui touche massivement le domaine de l'intérim, la société Randstad rachète Vedior bis et annonce un plan de licenciement de 542 personnes dans le cadre de la restructuration.
Et il se trouve qu'à Randstad (comme dans d'autres entreprises d'ailleurs) il y a des "délégués" CGT qui sont bien corrompus. Nous soulignons : corrompus. Délégués qui par ailleurs savent très bien manier le discours radical, lutte de classe et compagnie, pour donner le change, mais qui sont en train purement et simplement de liquider l'opposition à la restructuration...

En juin, un référé est posé sur la non transmission de documents au CE dans le cadre de la restructuration (classique). L'arrêt doit avoir lieu le 17 août. En plein week-end des 15 et 16 août (mot compte double ou triple pour les heures de négociation...) la CGT et la CFDT négocient deux accords avec la direction au prétexte de faciliter le départ des "volontaires" (on croit rêver !!!). En laissant de côté au passage les autres syndicats dont FO pour une fois fermement opposée aux licenciements. Evidemment, la juge des référés ne peut que renvoyer au fond, prise de court par une manoeuvre qui désamorce toute la procédure.
Rebelote fin septembre avec jugement sur le fond, renvoyé au 18 décembre. A peine annoncé les protagonistes (Direction, CGT, CFDT) annoncent la négociation d'un addendum. On arrive à une situation ubuesque ou l'inspecteur du travail, les juges sont constamment court-circuités par la corruption institutionnelle et donc évidemment réduits à l'impuissance.

Voilà comment des bureaucrates zélés deviennent des auxiliaires de la direction dans les restructurations du personnel permanent (plus de 500 licenciements, une paille !), étant eux-mêmes protégés comme délégués intérimaires !!! Une véritable honte - un scandale !!!
Nous le disons, il y a là un PACTE DE CORRUPTION clair et net.

Mais tous les délégués ne sont pas des pourris. Certains, tant parmi les intérimaires que parmi le personnel fixe sont scandalisés et protestent, d'une manière ou d'une autre.
Pas de problème : quel que soit le prétexte, on leur retire leur mandat syndical. Plusieurs camarades de Randstad ont ainsi déjà été démandatés, et il se dit de source sûre que c'est sur injonction de la direction auprès du DSC...

Cette question de la corruption est particulièrement visible chez Randstad, et nos camarades ont raison d'exiger la séparation de la syndicalisation des intérimaires et du personnel permanent, pour clarifier la situation.
Et les "syndicalistes" corrompus doivent retourner au boulot. Leurs patrons chéris ne devraient pas avoir trop de mal à leur retrouver des missions, même en période de crise.

Mais cette corruption  existe partout, sous des formes plus insidieuses. Mais quel est le sens du syndicalisme d'accompagnement et de cogestion, même sous la forme de la "coopération conflictuelle" chère à notre direction confédérale ? Mais d'où viennent nombre des permanents payés par les grands groupes du privé ou du public ? D'où vient le financement de l'organisation syndicale qui perd des effectifs mais emploie de plus en plus de permanents, élus ou experts occultes ?
La CGT Ranstad c'est la caricature ultime de où peut mener la collaboration de classe, l'achat de militants par le patronat, vieille méthode toujours d'actualité.
Plus que jamais l'heure est à la clarté, à la transparence, au refus du cumul des mandats, à la lutte des classes. Pour nettoyer la CGT de ces pourris, il faut en changer l'orientation qui, au fond, leur sert de couverture !
Et aujourd'hui cela passe par le soutien à la candidature à JP Delannoy contre Bernard Thibault au 49ème congrès !
Source ouvalacgt
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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:35
Stève, radié de Pôle emploi

Stève Jamet a manqué un entretien avec son conseiller : ce Nantais était retenu par son job saisonnier.

NANTES

Stève Jamet est amer. « Je suis en train de refaire tout mon dossier d'inscription à Pôle emploi. Ils m'ont radié cet été et je n'ai pas perçu d'indemnités de chômage en septembre. Ma situation financière devient difficile. » Ce Nantais a décidé de saisir le tribunal administratif contre cette radiation qu'il juge « anormale ». Tout démarre fin juin. Stève Jamet décroche un emploi saisonnier dans un restaurant de l'île de Ré. « J'ai mis ma situation à jour sur le site Internet de Pôle emploi en déclarant mon job temporaire. » Il plie bagages et file travailler. Mauvaise surprise à son retour à Nantes début septembre. « J'ai découvert que j'avais été radié mi-juillet, pour une durée de deux mois. Je ne m'étais pas présenté à un entretien et n'avais pas prévenu de mon absence. Logique : je travaillais ! Cela figurait dans mon dossier sur Internet ».

87 recours

Stève Jamet a déposé une requête au tribunal administratif fin septembre, pour plaider sa bonne foi. Et il est loin d'être le seul.

« Depuis 2008 et la nouvelle loi sur les demandeurs d'emploi, nous constatons une montée en flèche de ce type de contentieux, observent les agents du tribunal. Nous avons 87 recours au fond depuis le début de l'année ».Une large majorité des dossiers reste vaine. « Les demandeurs d'emploi sont très mal informés sur les procédures. Ils ne prennent pas d'avocat. Leurs dossiers sont mal établis et leurs recours sont généralement jugés irrecevables », explique-t-on au tribunal.

C'est le cas de Stève Jamet. Sa demande en référé a été rejetée mi-octobre.

Un médiateur

Côté syndicats, la situation du jeune Nantais ne surprend pas. « Les contrôles sont de plus en plus tatillons. Un demandeur d'emploi convoqué doit produire un écrit pour se justifier », explique Dimitri Magnier, de la CGT à Pôle Emploi.

« Les radiations sont plus rapides, observe aussi Fabien Milon (FO). Avec l'informatique, les mesures sont expéditives, et les radiations automatiques. »

« Le traitement des dossiers est automatisé, mais nous les regardons de manière humaine en cas de problème, modère Maryvonne Le Lidoux, chef de cabinet à Pôle emploi. Un médiateur est d'ailleurs spécialement chargé de réétudier ces dossiers. »

« Plusieurs courriers »

La responsable du cabinet rappelle que Stève Jamet a reçu « plusieurs courrie rs pour le prévenir de son rendez-vous, puis des avis avant radiation. Il faut penser à nous signaler tout changement d'adresse afin que nous puissions faire suivre les courriers. »

Selon les derniers chiffres, la région Pays de la Loire comptait en août 208 891 demandeurs d'emplois : plus 25,9 % sur un an. Les radiations administratives ont baissé de 12,4 %. Les cessations d'inscription pour « défaut d'actualisation » des informations personnelles chaque mois ont, pour leur part, augmenté de 16 %.

Emmanuel Vautier
Presse-Océan
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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:28
Candidat à la lutte finale


Plus rouge que les rouges. Jean-Pierre Delannoy, responsable régional de la CGT Métallurgie, 56 ans, incarne désormais la frange radicale de la « Cégète ». Le Nordiste a été désigné candidat au poste de secrétaire général par un collectif de militants, pour le 49e congrès du syndicat à Nantes, en décembre. Catapulté porte-parole des contestataires, lui, l'homme d'appareil. En face, l'« orga » [la direction de la CGT] a tout de suite pointé l'invalidité de sa candidature, sans y mettre les formes.

« Moins bureaucrate que les autres » Qu'importe. Ce sont les militants qui l'ont désigné. Ceux d'ici, mais aussi du Rhône, du Sud-Ouest... Il se dit proche des Conti, ceux-là même qui ont été accusés d'être manipulés par l'extrême-gauche. « La critique a accentué le besoin de rendre visible la contestation », constate ­Delannoy, yeux gris-bleu et fine moustache. Cégétiste à l'ancienne, il a rendu en 1997 sa carte du Parti communiste, en désaccord avec la ligne de Robert Hue. « La CGT renonce à combattre les effets du système capitaliste. En 2006, au congrès de Lille, on a voulu mettre les pieds dans le plat, mais on a été zappés. »

A deux pas de sa ville natale, Onnaing, l'union locale CGT de Valenciennes laisse fuser les critiques. « Il a fermé la porte du dialogue démocratique, lâche Joël Agogué. Quand on réclame un débat, il n'est pas là. » « Il est en conflit depuis des années avec les confédérations, moins bureaucrate que les autres », décrypte Xavier Mathieu, le délégué syndical de Continental à Clairoix.

Onnaing, une ville ouvrière, des mineurs, des métallurgistes comme son père, qui vont le former par l'exemple. Lui, trop jeune pour mai 1968, remarque que « lorsque les gens sont décidés, ils peuvent peser ». Tout petit, son bonheur est d'aller à la ducasse. Une vraie fascination pour les manèges et la foule. Formation de menuisier en poche, il s'engage dans la métallurgie, puis, en 1978, devient délégué à l'usine Bombardier de Crespin. Dix ans plus tard, il s'échappe, promu responsable de l'Union des syndicats des travailleurs de la métallurgie du Hainaut-Cambrésis.

Une rencontre scelle son engagement. Pierre Couvreur, prêtre-ouvrier chez Bombardier, repère le jeune Jean-Pierre, pour « ses convictions et sa sensibilité ». Delannoy prend le relais, en assurant la formation des jeunes délégués. Parmi eux se trouve Eric Pequeur, qui travaille à Toyota. « Il m'a nommé délégué syndical, se souvient la tête de liste Lutte Ouvrière [LO] aux dernières européennes. Il m'a raconté son parcours. A Bombardier, il y a eu une procédure contre lui. Tous les ouvriers se sont mis en grève. Il n'a pas été licencié. »
Source 20minutes.fr

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:18
Avec une pub gratuite comme ça, ce serait bien la moindre des choses que la Direction de Disneyland Paris nous envoye une boîte de friandises gratuites.
Les vieux cons

Gastronomie
Thierry Marx réinvente les friandises de Disneyland
 Crédits : DR

Le chef Thierry Marx s'est amusé à réinventer pour Disneyland Paris les gourmandises "Street Food" de Disneyland Paris. A l'occasion des fêtes de Noël, le chef connu pour sa cuisine moléculaire à imaginer de nouvelles présentations et formules du pop corn, des pommes d'amour et des cookies vendus dans les kiosques du parc pour régaler les visiteurs.

La pomme d'amour imaginée par Thierry Marx se veut plus moelleuse. Elle a été créée avec de la pulpe de pomme verte, enrobée d'un sucre léger "beaucoup plus diététique", comme il l'explique.
Le pop corn est, pour sa part, caramélisé en différentes cuissons avant d'être floqué d'une savoureuse couche de chocolat. Il se déguste par ailleurs de manière très originale, sur un bâton.
Le cookie, posé lui aussi sur un bâtonnet, a été transformé d'un biscuit dur en un biscuit moelleux grâce à de la crème de cookie.
Ces créations seront vendues dans les Villages de Noël de Disneyland Paris au prix de 7euros du 8 novembre prochain au 5 janvier 2010.
Source courrier-picard.fr

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:13
Le méga-Disneyland chinois se précise

Barack Obama himself pourrait l'annoncer. Selon le South China Morning Post, le président américain, en visite officielle en Chine le mois prochain, devrait officialiser la construction d'un parc
Disney à Shanghai. Avant cette annonce, le gouvernement chinois doit donner son feu vert cette semaine à la construction de ce méga-parc d'un coût estimé à 3,6 milliards de dollars, a rapporté lundi le quotidien de Hong Kong, citant une source gouvernementale proche du dossier.
 
Par ailleurs, le maire de
Shanghai avait laissé entendre à la presse dimanche qu'une annonce serait faite dans le courant de la semaine "pour annoncer les détails du projet", mais a en revanche refusé de confirmer avoir reçu l'aval des autorités. De son côté, Disney a confirmé dans un communiqué qu'un projet de parc avait bien été présenté par le groupe et des responsables de Shanghai au gouvernement central chinois, mais en précisant qu'il lui manquait encore son feu vert. "Aucun accord n'a été signé, aucun projet approuvé", a tempéré lundi Leslie Goodman, vice-présidente de Disney pour les affaires publiques internationales. Le groupe Disney a déjà ouvert un parc d'attraction à Hong Kong en 2005.
Source tf1.lci.fr
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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:08

Disney dévoile ses nouveaux projets

Tourisme d’affaires, logements, extension des zones de loisirs et de commerces, le Val-d’Europe poursuit son développement sous l’impulsion du géant américain.

Qu’on se le dise : le groupe aux grandes oreilles n’a pas fini de laisser son empreinte sur le paysage urbain du Val-d’Europe. Fraîchement nommé à la tête des activités de développement urbain et des activités touristique du groupe, Francis Borezée dévoile ses principaux projets pour le développement à venir de l’agglomération.

Aurélien Perol  Source leparisien.fr

Des programmes qui dessinent les contours de la phase 4 du développement du Val d’Europe, actuellement en discussion avec les représentants de l’Etat et les élus locaux.

Des réalisations sur quinze ans. Chargé du codéveloppement de l’agglomération en vertu d’une convention signée avec l’Etat en 1987, Euro Disney SCA a rempli au- aujourd’hui plus de la moitié du contrat. « Nous avons d’ores et déjà développé 1 100 ha sur 1 943, ce qui veut dire qu’on a encore quinze ans de développement devant nous », résume Francis Borezée. Actuellement en cours, l’achèvement des programmes de la phase 3 - finition de la place d’Ariane, du quartier résidentiel des Lacs ou réalisation de bureaux près de la gare RER — va coïncider avec le lance- lancement des nouveaux projets de l’opérateur privé.

Cap vers le tourisme d’affaires. C’est la grande nouveauté annoncée par le directeur général adjoint d’Euro Disney SCA. Un gigantesque centre de congrès devrait voir le jour aux portes des parcs Disneyland, pour un budget d’investissement d’environ 100 millions d’euros. D’ici 2015, une première phase prévoit la construction d’un centre de 20 000 ha sur ce terrain coincé entre le parking Vinci et l’hôtel Newport. Une nouvelle gare TGV dédiée et un hôtel de 750 chambres seront construits sur le site, qui pourra accueillir des groupes de 4 000 personnes. Parallèlement, les activités touristiques classiques continueront de se développer, avec l’extension prévue du Disney-Village et la construction de nouvelles attractions dans les parcs… qui devraient faire l’objet d’une annonce à la fin de l’année.

De nouveaux logements en perspective. Le développement résidentiel reste une priorité pour Francis Borezée, qui prévoit la construction de « 500 à 600 » nouveaux logements, dont « au moins 20 % de logements sociaux » par an d’ici à 2017. Le centre urbain devrait s’étendre avec de nouveaux logements assortis d’équipements publics, au nord de la nouvelle mairie de Serris ainsi qu’au sud-ouest du centre de secours de Chessy et au nord du boulevard circulaire. Pour améliorer le cadre de vie, un nouveau bassin et des espaces verts devraient également voir le jour (voir carte).

D’autres constructions pourraient également apparaître en périphérie, à Magny-le-Hongre et à Bailly-Ro- Romainvilliers, avec un programme mêlant maisons individuelles et logements collectifs dans le quartier des Courtalins. A terme, Francis Borezée prévoit une croissance de la population « jusqu’à 55 000 ou 60 000 habitants », soit un peu moins que l’Etat, qui envisage jusqu’à 80 000 habitants au Val-d’Europe.

L’extension du centre commercial Val-d’Europe. Satisfait du succès du pôle marchand, qui « résiste mieux à la crise » que la moyenne des centres commerciaux, le développeur prévoit son extension, avec une « nouvelle ouverture inter- intermédiaire » de la galerie. Sans oublier l’inauguration, en mars 2010, d’un immense magasin Castorama consacré à la décoration d’intérieur, assorti de 600 à 700 nouvelles places créées sur un niveau intermédiaire dans le parking du centre commercial.

La poursuite du développement. Les entreprises ne seront pas oubliées par l’opérateur d’aménagement privé, qui table sur l’extension du parc d’entreprise Goodman, à Bailly-Romainvilliers. Sans oublier de « constituer une nouvelle offre de bureaux prêts à l’emploi près de la gare, dans le centre urbain du Val-d’Europe. » En effet, les bureaux déjà réalisés dans ce secteur sont déjà occupés « à près de 95 % ».

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 17:21
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 12:06

puy-de-dôme

Bourbié : 105 licenciements annoncés à Issoire

le 01.11.2009

/ Photo Jean-Jacques Arène

 

Il n'y a pas eu de miracle au tribunal de commerce de Clermont-Ferrand : la société Praxis Finances est le repreneur de l'entreprise Bourbié, spécialisée dans la ferraille en liquidation judiciaire. Le plan social sera donc de 121 licenciements, dont 105 pour le site d'Issoire.

Vendredi, en fin d'après-midi, une délégation de salariés a été reçue par Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, à la préfecture de Clermont-Ferrand.

La veille, les Bourbié avaient manifesté à Saint-Saturnin, lieu du domicile des parents du ministre. 500 CRS y avaient été déployés, bouleversant les habitudes dans la paisible bourgade.
Source leprogres.fr

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 11:59
Le blocage est levé à l'usine Dunlop-Goodyear
NOUVELOBS.COM | 31.10.2009

L'usine de pneumatiques était bloquée depuis plusieurs jours par des salariés qui demandaient un accord sur la réorganisation du travail en 4X8. Le piquet de grève se poursuit jusqu'à lundi.

Les salariés bloquaient l'usine depuis mercredi

 

Les salariés bloquaient l'usine depuis mercredi

 

Le blocage de l'usine Dunlop-Goodyear d'Amiens-sud, entamé mercredi pour renégocier un accord sur la réorganisation du travail en 4X8, a été levé vendredi soir, suite à une décision de justice saisie en référé, a-t-on appris samedi 31 octobre auprès des syndicats et de la direction.
"Le tribunal de grande instance d'Amiens, saisi en référé, a ordonné vendredi après-midi aux salariés de rendre le libre accès à l'usine. Depuis, conformément à cette décision, le site d'Amiens-sud n'est donc plus bloqué", a annoncé samedi à l'AFP une porte-parole de Dunlop-Goodyear.

Le piquet de grève continue

"Aux alentours de 17h, hier (vendredi) soir, le libre accès au site a été rendu suite à une décision de justice, qui menaçait dix salariés d'une peine de 1.000 euros d'astreinte par jour, en cas de non-levée du blocage", a confirmé Thierry Recoupé, délégué syndical CFTC de l'usine d'Amiens-sud.
Cependant, "même si l'accès à l'usine est de nouveau libre, le piquet de grève continue jusqu'à lundi matin, et l'usine n'a toujours pas repris son rythme normal de production", a assuré Patrice Martin, délégué Sud-Chimie, précisant que samedi matin, une vingtaine de salariés étaient toujours rassemblés devant l'usine.

"On espère que la direction a compris le message"

"On espère que la direction a compris le message", a-t-il ajouté en précisant qu'une prochaine réunion de négociation était d'ores et déjà prévue pour mardi.
Parallèlement, la direction de Dunlop-Goodyear a entamé une procédure de sanctions disciplinaires à l'encontre de plusieurs salariés, accusés de tentatives de vol et de dégradations dans l'usine dans la nuit de jeudi à vendredi, a indiqué la porte-parole de Dunlop-Goodyear.
"Actuellement, 5 salariés sont mis à pied et des procédures de licenciement ont été engagées", a déclaré Thierry Recoupé.
Les salariés de l'usine d'Amiens-sud (1.100 personnes) avaient accepté en 2008 de signer un accord de réorganisation du travail en 4X8 après un référendum du personnel.
Début septembre, cette réorganisation du travail a été remise en cause par le tribunal de grande instance d'Amiens, ce qui a obligé la direction à renégocier un accord avec les syndicats du site.


(Nouvelobs.com)
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 11:08
Besancenot : « Ils veulent casser les meneurs »

ErDF-GrDF. Il soutient les agents sanctionnés après les grèves du printemps.

Olivier Besancenot. Photo DDM.

Marie-George Buffet, Jean-Jacques Mirassou, Bernard Keller, Noël Mamère, Bernard Thibault, François Briançon, Jean-Luc Mélenchon, Pierre Izard, Pierre Lacaze… Voici un échantillon des dizaines d'élus et de personnalités locales et nationales signataires d'un texte de soutien aux agents contre lesquels la direction des groupes EDF et GDF/Suez a pris des sanctions disciplinaires allant jusqu'au licenciement. Après les grèves du printemps hostiles à la mise en sous-traitance de certains services, et les dégradations commises le 21 avril, quatre licenciements ont d'ores et déjà été prononcés, deux autres devraient suivre. 18 conseils de disciplines ont été réunis. « Une vaste opération nationale de répression » dans « un contexte de criminalisation du mouvement social inacceptable », dénonce la pétition.

Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste fait partie des signataires.

Pourquoi ce soutien aux agents d'ErDF et GrDF ?

Parce que nous sommes toujours solidaires des victimes du démantèlement des services publics. Les luttes de plus en plus radicales doivent être comprises par rapport aux stratégies de plus en plus radicales des employeurs. Ceux qui passent devant les tribunaux ne sont pas forcément les bons. On réclame l'arrêt des sanctions et poursuites disciplinaires.

Vous parlez de criminalisation du mouvement social, la direction d'EDF de dégradations, de vandalisme…

De façon plus générale, chez France Telecom, à la Poste ou chez les Conti, la casse matérielle n'est rien face à la casse humaine. On tape sur ceux qui l'ouvrent, qui résistent à cette libéralisation de l'énergie aberrante qui fait qu'EDF va faire du gaz et GDF de l'électricité ! Ils veulent casser la tête des meneurs. Parfois même, comme pour EDF, en anticipant d'éventuelles décisions de justice (qui, à ce jour, n'a notifié aucune convocation, NDLR). Combien de temps les directions de ces entreprises vont-elles jouer à ce jeu-là ?

Les coupures sauvages qui se multiplient sont-elles justifiées ?

Sans mauvais jeu de mots, ces décisions de licenciements n'allaient pas passer comme des lettres à la Poste. Aux employeurs d'assumer ! La plupart du temps ces actions sont ciblées. Quand ils défendent le service public et s'opposent à cette libéralisation de l'énergie aberrante qui fait que GDF va faire de l'électricité et EDF du gaz, les salariés sont évidemment du côté des usagers.
Source ladepeche.fr

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