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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 11:08

 

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 10:01
Les dirigeants séquestrés par leurs salariés... s'échappent

le 17 septembre 2011

Des salariés en colère retenaient depuis vendredi matin cinq responsables de Constellium sur le site de Ham, dans la Somme, contre des suppressions de postes. Mais ceux-ci ont réussi à fuir dans la nuit de vendredi à samedi.

Cinq responsables de la société, Constellium retenus par des salariés en colère sur le site de Ham (Somme), où le groupe de transformation d'aluminium veut supprimer 127 postes sur 200, se sont échappés dans la nuit de vendredi à samedi. Les dirigeants, séquestrés depuis vendredi matin, "ont pris la fuite" en  profitant d'une "diversion" au moment de la visite d'un gradé de la gendarmerie vers 2h pour s'engouffrer dans une ouverture taillée dans une grille du site  de fabrication de profilés en aluminium, a indiqué le délégué syndical CFTC (majoritaire). "Un commandant de gendarmerie est venu nous voir, on a fait une réunion, et  pendant ce temps-là, de l'autre côté de l'usine, ils ont fait une opération en découpant le grillage et en débroussaillant l'accès pour faire le chemin. Ils les ont fait sortir par là", a-t-il expliqué.

Parmi eux se trouvait le président de cette activité pour le monde de Constellium, Paul Warton, le directeur pour la France, Hervé Pelcerf, ainsi que  trois dirigeants du site de Ham. Une cinquième personne, responsable des ressources humaines du site, initialement retenue, avait été relâchée entre-temps par les salariés.

"Les salariés sont écœurés par l'attitude de la direction", a-t-il  commenté. "Il n'y a pas de dialogue. On n'a obtenu aucune avancée concrète" alors que les syndicats demandent la pérennisation du site et soutiennent un projet de  réindustrialisation du site, qui a reçu l'intérêt d'un fonds d'investissement,  mais a été repoussé par Constellium, a-t-il regretté.

Source lci.tf1.fr

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 09:52

J'ai reçu ce message ce matin d'une internaute, alors autant en faire profiter tout le monde.

Amitiés à tous et à toutes

Cyril LAZARO

 

"Je veux simplement vous dire que cette réalisation dépasse tous les messages humanitaires universels Dans ce /"Stand by me"/, rien de comparable !... il n'y a que d'illustres inconnus débordant de talent et de bonne volonté à qui ce clip ne rapportera certainement que des clopinettes.

Quand à l'équipe de jeunes preneurs de son et d'image qui ont réalisé ce tour de force, je souhaite pour eux qu'ils aient trouvé un mécène car tout ça a certainement coûté fort cher, ne serait-ce qu'en billets d'avion.

Du point de vue technique c'est le rêve absolu. L'image est en plein écran (surtout n'oubliez pas d'agrandir la fenêtre au maximum) et le son d'une qualité et d'une profondeur qui prend au tripes, surtout si vous écoutez au casque (dans le cas contraire, donnez un peu de volume à vos haut-parleurs pour mieux profiter de cette qualité)."

 

 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 21:39
Moyens des syndicats du public : l'Etat va laisser un sursis à la CGC et à la CFTC

 

C'est un arbitrage que la CGC et la CFTC attendent la peur au ventre. A un mois des élections professionnelles dans la fonction publique d'Etat et dans les hôpitaux (le 20 octobre), cruciales car elles mettront en oeuvre la réforme de la représentativité, le gouvernement doit dévoiler la semaine prochaine aux syndicats les nouvelles règles de répartition des moyens (locaux, crédits d'heures, etc.) qui leur seront alloués. Il est entendu que ces derniers seront désormais fonction de leur audience électorale, mais il reste à préciser s'ils seront basés sur leur score « brut », en nombre de voix, ou sur leur score « net », en nombre de sièges obtenus dans les comités techniques ministériels, futures instances centrales du dialogue social.

Un arbitrage vital

Derrière son aspect technique, l'arbitrage est vital pour les deux « petits » syndicats. Dans de nombreux ministères, leur audience traditionnelle (4,6 % pour la CGC, 2,2 % pour la CFTC) risque en effet d'être trop faible pour arracher un des 15 sièges à pourvoir. Plus les moyens seront fondés sur les sièges, plus les vivres leur seront coupés. Au gouvernement de choisir la force du coup porté, sachant qu'une trop forte asphyxie financière sonnerait le glas quasi immédiat des deux syndicats dans la fonction publique d'Etat. Pour conjurer le sort, ils organisent ce matin à Paris un appel conjoint à la défense du pluralisme syndical en distribuant... des trèfles à quatre feuilles.

Ils devraient être partiellement entendus. Selon nos informations, en dépit de l'insistance de la CGT et de la CFDT pour concentrer les moyens sur les sièges, le ministère se dirige vers une posture médiane, avec 50 % des moyens selon les voix et 50 % selon les sièges. Le ministre de la Fonction publique, François Sauvadet, veut leur garantir une forme de sursis avant les élections de 2014, où les conditions pourraient se durcir. Sur le fond, l'idée est de laisser aux troupes de la CGC et de la CFTC le temps de mesurer les dégâts après le 20 octobre, de se retourner... et de se résoudre à rejoindre d'autres syndicats pour continuer à peser. L'Unsa, FO et la CFDT sont déjà à l'affût.

D'ici là, la CFTC et la CGC, qui excluent officiellement de futures fusions avec quiconque, se préparent tant bien que mal au scrutin à venir. La première multiplie les alliances électorales, avec l'Unsa aux Finances, la CGC à l'Agriculture ou la FGAF (autonomes) à l'Education. La seconde mise sur la redynamisation de son image et sur le poids croissant des cadres dans le corps électoral.

DEREK PERROTTE Source lesechos.fr
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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 20:39
Suicide d'une postière à Paris: les syndicats du site appellent à une grève

Au lendemain du suicide d'une postière au centre financier de la Poste à Paris, les syndicats CGT, SUD, FO et CFDT ont lancé vendredi un appel à la grève à l'adresse des quelque 1.500 agents du site, dénonçant réorganisations en série et suppressions d'emplois.

A l'issue d'une assemblée générale vendredi, les salariés du centre se sont prononcés massivement en faveur de cette grève prévue le jeudi 22 septembre, a indiqué Régis Blanchot (SUD).

Jeudi, une salariée de 52 ans, célibataire, s'est défenestrée du 4è étage du bâtiment situé dans le XVe arrondissement. En congé longue maladie, elle avait repris ses fonctions il y a trois semaines, avant d'être de nouveau arrêtée une semaine plus tard, après un accident de travail. Elle avait repris le travail le matin même.

Selon M. Blanchot, "les signaux d'alarme étaient allumés depuis un moment déjà" dans le centre, où certains s'attendaient à un tel drame. Pour illustrer ce propos, il a indiqué qu'après avoir appris le suicide par la presse, une salariée en vacances avait téléphoné en pensant qu'il s'agissait de quelqu'un d'autre.

De son côté, Alain Amblard (CGT) a souligné qu'au lendemain du drame, les salariés restaient "très choqués" et que certains avaient été consulter la cellule psychologique mise en place par la direction de la Poste après le drame.

Dès l'annonce du décès, la direction avait fait part de "sa grande tristesse" et annoncé l'ouverture d'une enquête de police. Le Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) a également ouvert une enquête.

Tout en se montrant prudents sur les causes du drame, les syndicats ont unanimement dénoncé les restructurations et les suppressions d'emplois au sein du centre financier, à l'instar de la CGT jeudi.

Appelant à "un moratoire sur les réorganisations", SUD a indiqué vendredi avoir officiellement signalé avant le drame la "situation très dégradée" au centre, pointant notamment une augmentation des arrêts maladies, et dénonçant la suppression de plus de 100 postes en 2010.

"Toutes et tous ont de plus en plus de mal à faire ce qui leur est demandé. Certains craquent... jusqu'à l'irréparable", a signalé de son côté FO, réclamant l'"arrêt des restructurations, l'arrêt immédiat de toutes les suppressions d'emploi et le remplacement de tous les départs en retraite".

La Poste, devenue le 1er mars 2010 une société anonyme à capitaux publics, emploie environ 240.000 personnes. Le dernier bilan social, rendu public en mai, faisait apparaître une dégradation des indicateurs de santé au travail pour l'ensemble du personnel, avec notamment une hausse des arrêts maladie, les syndicats y voyant un motif d'alarme.

Source courrier-picard.fr

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 07:16
Les syndicats n'arrivent pas à s'entendre sur les modalités de la journée d'action du 11 octobre

François Chérèque, le secrétaire de la CFDT, et Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, lors de la manifestation intersyndicale du jeudi 27 mai.

 

L'intersyndicale (CFDT-CGT-UNSA-FSU-Solidaires) n'a pas réussi à s'entendre sur des modalités nationales de la journée d'action interprofessionnelle du 11 octobre contre le plan "antidéficit" du gouvernement. Jeudi 15 septembre, les représentants des cinq syndicats se sont séparés sans appeler à la grève ou à des arrêts de travail, se contentant de renvoyer au niveau départemental et au sein de chaque entreprise pour d'éventuels appels à la grève.

La CFDT et l'UNSA se sont opposées à un appel à la grève, craignant "des manifestions riquiqui qui auraient un effet désastreux le 11 octobre au soir", a justifié Marcel Grignard de la CFDT. "Nous ne croyons pas à l'efficacité d'une mécanique d'arrêt de travail dans la période actuelle", a expliqué M. Grignard. Et d'assurer que le principal souci des salariés est actuellement "le risque d'éclatement de la zone euro, pas le plan Fillon".

Le 1er septembre, il avait déjà fallu plusieurs heures à l'intersyndicale pour décider de la date même de cette journée d'action et des revendications qu'elle porterait. Il en était ressorti un vaste catalogue de demandes allant de l'abandon de la taxation des complémentaires santé à l'instauration d'une taxe sur les transactions financières.

PAS LA FIN DE L'INTERSYNDICALE

Les trois syndicats favorables à un appel à des arrêts de travail (CGT, FSU et Solidaires) n'ont pu que prendre acte de l'impossibilité de mobiliser la CFDT. "On ne pense pas que dans ce contexte-là on puisse mobiliser seul et gagner, il fallait un appel unitaire ", a expliqué Bernadette Groison, de la FSU. Chez Solidaires, Annick Coupé ne cachait pas sa déception."Nous aurions souhaité un signe plus fort de l'intersyndicale au niveau national", a-t-elle expliqué.

Tous les syndicats ont toutefois insisté sur leur convergence de vue sur la crise actuelle, assurant que l'absence d'unité sur la journée du 11 octobre ne signifiait pas la fin de l'intersyndicale. Ils ont à nouveau dénoncé la taxation des mutuelles et critiqué des mesures antidéficit "inefficaces et injustes". Dans ces conditions, les formes de mobilisation le 11 octobre devraient différer de ville en ville, la CFDT souhaitant notamment que les manifestations soient organisées de façon à ce "que le maximum de personnes puissent manifester sans poser d'arrêts de travail". L'organisation d'une manifestation unitaire à Paris n'est pas acquise, la décision devant être discutée par l'intersyndicale francilienne vendredi 16 septembre.

Source lemonde.fr

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 19:38
Fonderie du Poitou Aluminium (communiqué commun)

La CGT condamne avec fermeté le chantage inqualifiable du groupe MONTUPET sur les salariés de la Fonderie du POITOU Aluminium de Châtellerault dans la Vienne.

En exigeant une baisse des salaires de 25% et en pratiquant le chantage à l’emploi, Montupet prend le risque d’une catastrophe sociale et de l’implosion d’un outil industriel, lourdes de conséquences dans un bassin d’emplois qui a déjà été lourdement sinistré ces dernières années.

Au nom des « sacro‐saintes » marges des constructeurs donneurs d’ordres tels que Renault et Peugeot, c’est une mise en concurrence sauvage des salariés pour garantir les profits des actionnaires.

Les faits sont là, depuis la vente par BAVARIA au groupe MONTUPET de la Fonderie Aluminium de CHATELLERAULT sous la bienveillance de RENAULT, aucun centime d’euro n’a été investi dans l’entreprise mais 2,2 Millions d’euros ont été prélevés dans la trésorerie du site au titre des frais de sièges de MONTUPET.

Chacun doit prendre ses responsabilités : Les Pouvoirs Publics, actionnaires de RENAULT. RENAULT SA, qui a cédé cette Fonderie en 1998 pour faire de l’argent facile et aujourd’hui principal donneur d’ordres, doit reprendre la FDPA. C’est cette solution qui a prévalu pour la SBFM en BRETAGNE, cela permet aujourd’hui le réinvestissement dans l’outil industriel de plus de 100 Millions d’euros et l’ouverture du bureau d’embauches. Pour sa part, MONTUPET a tout à gagner à revoir à la hausse les rémunérations et qualifications de ses bases nationales en refusant le diktat des donneurs d’ordres de produire toujours au « moins‐disant social ».

La CGT et ses organisations se placent résolument aux côtés des salariés de la FDPA dans l’action pour obtenir satisfaction à leurs légitimes revendications et seront à leurs côtés pour les soutenir dans leurs démarches.

 

Déclaration de la Confédération Générale du Travail, de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie et de l’Union Départementale de la VIENNE

Montreuil, le 15 septembre 2011

Source humanite.fr

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 19:23

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 19:05

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 18:29

Injures envers les Arabes: Brice Hortefeux relaxé mais sévèrement jugé

Brice Hortefeux a été relaxé jeudi en appel du délit d'injure raciale après sa sortie de 2009 sur un militant UMP d'origine arabe mais la cour s'est basée sur un motif juridique et a taxé les propos de l'ex-ministre de l'Intérieur de "méprisants" et d'"outrageants".

voir le zoom : Brice Hortefeux quitte, le 13 avril 2010, l'Hôtel Matignon à Paris 
Brice Hortefeux quitte, le 13 avril 2010, l'Hôtel Matignon à Paris

 

Brice Hortefeux a été relaxé jeudi en appel du délit d'injure raciale après sa sortie de 2009 sur un militant UMP d'origine arabe mais la cour s'est basée sur un motif juridique et a taxé les propos de l'ex-ministre de l'Intérieur de "méprisants" et d'"outrageants".

"Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes" : cette petite phrase prononcée en septembre 2009 à l'université d'été de l'UMP à propos d'un militant né de père algérien avait valu à l'ex-ministre une condamnation à 750 euros d'amende devant le tribunal correctionnel en juin 2010.

Rejugé un an plus tard par la cour d'appel, toujours en son absence, Brice Hortefeux a été déclaré "hors de cause" sur un fondement juridique : les juges ont estimé irrecevable la constitution de partie civile du Mrap, à l'origine des poursuites. Dès lors, ils ne pouvaient condamner l'actuel vice-président du Conseil national de l'UMP.

L'avocat de l'association antiraciste, Pierre Mairat, a annoncé un pourvoi en cassation afin de contester le raisonnement des magistrats de la cour.

Aux yeux de ces derniers, les propos de Brice Hortefeux n'étaient pas publics et le délit d'"injure publique" qui lui est reproché devrait être requalifié en "injure non publique" - passible d'une contravention. Or, la partie civile à l'origine des poursuites ne peut agir en justice qu'en matière de délit, rappellent-ils.

La cour d'appel fait la même analyse que les juges de première instance : Brice Hortefeux "n'entendait pas s'adresser au-delà du cercle restreint formé par les militants qui l'entouraient" même si ses propos, peu audibles, avaient été filmés par une chaîne de télévision avant de faire le tour d'internet.

"Evident manque de culture"

Les images montraient le ministre posant avec Amine, entouré d'autres militants UMP. Une femme avait expliqué à M. Hortefeux qu'Amine mangeait du cochon et buvait de la bière, ce à quoi le ministre avait rétorqué : "Ah mais ça ne va pas du tout, alors, il ne correspond pas du tout au prototype". Dans un second temps, il ajoutait : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes".

Il avait ensuite laissé entendre que les propos incriminés concernaient les Auvergnats.

Tout en concluant à une irrecevabilité des poursuites, la cour d'appel ne se prive pas de disséquer les paroles de l'ancien ministre en se montrant sévère à son égard.

Ainsi l'emploi du mot "prototype", qui revient à considérer "toutes les personnes d'origine arabe comme pratiquant les préceptes de la religion musulmane", "témoigne d'un évident manque de culture" de M. Hortefeux, estiment les juges.

Le ministre s'offre ainsi "un malheureux trait d'humour" au prix de "schémas simplistes et quelque peu réducteurs".

"Désagréable", l'expression "ça ne va pas du tout" n'est pas pour autant outrageante, poursuivent les juges.

"Il en est autrement des seconds propos poursuivis", observent-ils concernant la fameuse phrase "Quand il y en a un, ça va..."

Ce propos "qui vient conforter l'un des préjugés qui altèrent les liens sociaux est outrageant et méprisant à l'égard de l'ensemble du groupe formé par les personnes d'origine arabe stigmatisées du seul fait de cette appartenance, ce qui le rend punissable", assène la cour.

L'avocat de Brice Hortefeux, Me Jean-Yves Dupeux, retient de cet arrêt qu'il "considère qu'une conversation privée ne peut pas être poursuivie par une association anti-raciste".

"En droit, c'est une décision très intéressante car elle est sans précédent", a-t-il assuré à la presse.

Source tv5.org

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