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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 18:41
Euro Disney: la dette devra être restructurée

05/01/10

PARIS (Dow Jones)--Les grèves qui ont touché les transports publics et mobilisé une partie des salariés d'Euro Disney en décembre pourraient susciter de nouvelles inquiétudes concernant la capacité de l'exploitant de parcs de loisirs à attirer les visiteurs, sur fond de faiblesse de la conjoncture et de montée du chômage.

Une faiblesse plus grande qu'anticipé de l'activité d'Euro Disney pourrait également remettre en lumière la nécessité de s'atteler à une nouvelle restructuration de sa dette, qui obère déjà son développement et mériterait d'être au moins en partie convertie en actions.

La société contrôlée par Walt Disney affiche un bilan particulièrement tendu avec une dette de presque 2 milliards d'euros pour une trésorerie de 340 millions fin septembre. Sa dette nette représente ainsi près de 9 fois l'excédent brut d'exploitation 2009.

Les charges financières que le groupe supporte en conséquence plombent ses comptes, toujours déficitaires malgré une restructuration de la dette en 2005. Même en 2008, année pourtant faste en termes de résultats, l'entreprise de loisirs a accusé une perte nette de 2,8 millions d'euros, en raison de charges financières nettes de 88,4 millions.

L'accumulation de ces pertes ronge les fonds propres d'Euro Disney, qui n'étaient plus que de 287 millions d'euros fin 2009, soit un ratio dette nette sur fonds propres de 568%, contre 402 millions fin 2005.

Certes, la restructuration de la dette de 2005 a permis au groupe de conserver une partie de son cash flow pour continuer de financer son développement, en lui permettant dans certaines conditions de commuer le paiement d'une partie des intérêts de sa dette et des royalties dues à la maison mère Walt Disney en dette subordonnée à long terme.

Mais ce dispositif, s'il n'est pas neutre sur la trésorerie du groupe - il a permis d'économiser 65 millions de paiement d'intérêt pour limiter à 89 millions les charges financières nettes en 2009 - ne fait que repousser dans le temps le problème de la dette, qui continue ainsi de croître. D'après FactSet, elle devrait encore progresser cette année et en 2011.

Le groupe devrait ainsi envisager des solutions plus drastiques pour s'attaquer au problème structurel de sa dette, qui risque d'être rendu plus aigu encore par une conjoncture économique déprimée.

Selon Oddo Securities, le risque qu'Euro Disney rompe certains de ses engagements bancaires cette année ne doit pas être exclu. Une telle situation pourrait contraindre le groupe de loisirs à réduire de manière sensible ses coûts et ses dépenses d'investissements, ou à envisager une augmentation de capital, ou encore un mix de ces différentes options.

Mais, compte tenu de l'ampleur de son endettement au regard d'une capitalisation boursière limitée à 190 millions d'euros, le groupe ne pourra sans doute pas faire l'économie d'une restructuration de sa dette avant d'envisager un quelconque appel au marché.

Cette restructuration pourrait passer par la conversion d'une partie de la dette en actions. Une telle opération, certes toujours douloureuse pour les actionnaires minoritaires, laisserait le contrôle du groupe à Walt Disney, propriétaire de 39,8% du capital et de 15% de la dette, puisque la société est gérée en commandite.

La Caisse des Dépôts et Consignations, qui représente l'Etat et détient plus de la moitié de la dette, accepterait sans doute une conversion de ses créances en capital dans la mesure où cela contribuerait à assurer la pérennité de l'entreprise, grande pourvoyeuse d'emplois et d'activité.

Restent les banques créancières d'Euro Disney, qui pourraient rechigner à entrer au capital d'un groupe subissant de plein fouet le retournement conjoncturel, et qui devrait continuer de souffrir de la faiblesse de la consommation des ménages en 2010.

Une partie des difficultés d'Euro Disney vient de sa structure de coûts essentiellement fixe, justifiée notamment par la nécessité de préserver la qualité de "l'expérience Disney". Toute tentative de réduire sensiblement les coûts et les investissements est donc délicate, dans la mesure où elle risque d'affecter cette expérience et donc de peser sur la fréquentation et les performances financières.

La société n'en dispose pas moins d'une certaine marge de manoeuvre en la matière, si l'on compare les marges d'exploitation d'Euro Disney et celles de sa maison mère dans les parcs de loisirs. Certes, les deux activité ne sont pas directement comparables, étant donné que les parcs de loisirs de la société américaine sont plus mûrs et regroupent un plus grand nombre d'activités, comme les croisières.

Il n'en reste pas moins qu'en 2008, la marge opérationnelle d'Euro Disney a beau avoir atteint un pic à 6,8%, elle était très inférieure à celle de 16,5% dégagée dans le même temps par la division Parcs de loisirs de sa maison mère.
Source investir.fr

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 23:10
C'est tout à fait par hasard, si le hasard existe, que nous avons découvert un site étonnant et une histoire encore plus étonnante.
Un conflit avec des licenciements, un patron voyou et une figure syndicale, Claude Choquet.
Une vraie lutte, avec toutes ses péripéties, etc..., etc... que nous vous laisserons découvrir sur le site
http://lenoir-ou-le-noir.over-blog.com/
Ce qui nous a interpelé, c'est que ce représentant syndical qui a voulu dénoncé la passivité et la volonté de récupération du syndicat métaux CFDT dans le conflit, s'est retrouvé assigné au tribunal pour diffamation par ce même syndicat. Vous pourrez juger sur pièce en visitant le blog ci-dessus mentionné.
Les vieux cons de Disney interpellent solennellement François Chérèque pour faire cesser ce dysfonctionnement au sein de sa confédération. Il en va de la crédibilité de la CFDT.
Il y a tant de difficultés dans le monde du travail aujourd'hui, tant de salariés désespérés et de plans sociaux à venir, qu'il apparaît ridicule de voir un règlement de compte issu d'une lutte intestine prendre de telles proportions, et qu'un militant de la trempe de Claude Choquet ne mérite pas un tel traitement.
Les messages de soutien des nombreux salariés de LENOIR ET MERNIER LCAB sont la plus belle preuve de la qualité de Claude Choquet, militant que nombre d'organisations syndicales seraient fières d'avoir à leur côté.
Quant à la position du syndicat métaux CFDT, nous lui disons qu'il n'est jamais trop tard pour faire demi tour lorsque l'on n'est pas sur la bonne route.
Les vieux cons.


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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 20:57
Alexandre Tott (FO) : mobiliser les salariés
«Il est urgent de muscler la négociation salariale, ne serait-ce que pour relancer la consommation», estime Alexandre Tott.

 

Alexandre Tott, secrétaire départemental de Force ouvrière en Moselle depuis octobre dernier, est pessimiste quant à la situation économique et sociale prévisible en 2010… Il en tire donc des motifs d’optimisme pour la mobilisation des salariés. Logique !
«Par rapport au début de 2009, la situation s’est aggravée en matière d’emploi, de pouvoir d’achat, de protection sociale. On n’est pas au bout des plans sociaux ; c’est la question numéro un. Ensuite vient le dossier du pouvoir d’achat. Il est urgent de muscler la négociation salariale, ne serait-ce que pour relancer la consommation. Enfin, le chapitre des retraites sera, aussitôt après les régionales, un dossier à haut risque, qui posera la question de la durée des carrières et du calcul des pensions », prévoit Alexandre Tott. Cela, pour le volet pessimisme.
«Mais rien n’est bouclé. Toutes ces difficultés constituent de vraies raisons pour les salariés de se mobiliser, comme ils l’ont fait au début de 2009. Le rôle des organisations syndicales est de préparer cette mobilisation, et nous voulons, à FO, être le support des salariés dans l’action.» Voilà pour l’optimisme, en reconnaissant toutefois que «toutes les conditions ne sont pas réunies » : «Un coche a été loupé après les grandes manifs du 19 mars 2009. Il faut que les organisations dites majoritaires en retrouvent la volonté, sans se contenter de palabrer dans les salons de la préfecture

Source republicain-lorrain.fr

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 20:50
La CGT dénonce un bilan de reclassement accablant
- Usine Moulinex -Archives -

Usine Moulinex -Archives

Seul un tiers des ex salariés de Moulinex ont retrouvé un emploi huit ans après leur licenciement.

C'est ce qu'affirme l'ancien délégué syndical CGT du groupe d'électroménager, Thierry Lepaon, dans une tribune libre publiée dans le quotidien L'Humanité du mardi 5 janvier.

En incluant les salariés qui ont pu bénéficier de mesures liées à leur âge ou au classement amiante de leur site de production, "la moitié a trouvé une solution" ajoute l'actuel secrétaire régional de la CGT en Basse-Normandie. 

"Nous espérons une ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de Nanterre des responsables du désastre, rappelle Thierry Lepaon, faisant allusion à l'instruction en cours depuis 2003 à Nanterre.

Les syndicats parties civiles, dont la CGT, ont été à nouveau reçus en novembre par le juge.

Les deux derniers PDG du groupe, Pierre Blayau et Patrick Puy, leur état-major de l'époque et deux commissaires aux comptes de Moulinex en fonction au moment de la faillite ont été mis en examen dans le cadre de cette enquête.


"La justice doit continuer à être rendue", poursuit Thierry Lepaon après notamment la "victoire", le 18 décembre, de 568 salariés de Moulinex dont le licenciement a été reconnu "sans cause réelle" par la cour d'appel de Caen, confirmant pour l'essentiel un jugement du tribunal des prud'hommes.

"Cela porte à plus de 1.000 le nombre de cas individuels jugés à la suite du dépôt de bilan du groupe Moulinex. Plusieurs centaines de dossiers sont encore en attente de jugement. Au total un salarié licencié sur deux a contesté son licenciement", ajoute le syndicaliste.

Le dépôt de bilan de Moulinex, société partiellement reprise par le groupe Seb en octobre 2001, avait conduit à la fermeture de quatre usines employant un total de 3.240 salariés en Basse-Normandie.
Source normandie.france3.fr

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 20:47
Les syndicats du constructeur automobile PSA Peugeot-Citroën ont signé un accord sur l'exercice du droit syndical.

L’exercice du droit syndical se développe chez PSA Peugeot-Citroën. Les six syndicats représentatifs du constructeur automobile ont signé un accord qui prévoit de la formation, des moyens supplémentaires et la validation des acquis de l’expérience.

Pour les syndicats, cet engagement présente une amélioration mais il n’est pas encore totalement satisfaisant. “Rien ne va à l’encontre des militants syndicaux dans cet accord, à l’inverse d’un précédent projet d’accord en 2007 (…) Mais sur le terrain rien ne change, il faut des luttes pour faire respecter ces droits“, a déclaré la CGT.

Le texte prévoit “des actions supplémentaires de formation à destination des représentants syndicaux, en particulier dans les domaines de l’économie d’entreprise et de la sécurité du travail, des moyens complémentaires de fonctionnement, ainsi que le renforcement du suivi de la carrière des mandatés“.

L’accord permet aussi d’appliquer la loi du 20 août 2008 sur la représentativité. Elle précise qu’un syndicat devra recueillir 10% des voix pour participer aux négociations dans une entreprise.

latribune.fr

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 20:41
Lons-le-Saunier: la direction de FCI pose un lapin aux syndicats

le 05.01.2010

/ Photo Mathilde Villeminot

 


La réunion qui devait se tenir ce matin entre les syndicats et la direction de FCI n'a pas eu lieu. Et pour cause, les deux directeurs sont repartis sans prévenir.
Après le blocage lundi de l'usine par les salariés et la séquestration durant quelques heures des deux patrons, syndicats et direction de FCI avaient décidé, lors d'une table-ronde en préfecture, de se rencontrer ce mardi matin afin de poursuivre les négociations. Mais à leur arrivée, les syndicalistes n'ont trouvé personne, les deux directeurs ayant plié bagage. Vendredi, le tribunal de commerce doit statuer sur l'avenir de l'entreprise lédonienne qui emploie 46 personnes.
Source leprogres.fr

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 19:34
  • Tout d'abord, merci à Jacques Tourtaux d'avoir fait l'intermédiaire et à Xuan pour son commentaire très éclairant que je reprends en article.
    A l'heure où l'on veut nous faire croire au retour du dialogue social dans les entreprises et où les journaux renforcent cette impression au travers d'articles qui font la part belle aux signataires d'accords, il est important d'entendre aussi les non signataires afin de mieux relativiser l'impact de tel ou tel accord sur la vie des salariés.
    Le commentaire retranscrit ci-dessous n'est pas un communiqué officiel, mais il est suffisament éclairant pour mieux comprendre la position de la CGT de Rhodia.
    Amitiés à tous et à toutes
    Cyril LAZARO


    Salut Cyril,

    Sous réserve d’infos plus précises, deux ou trois mots sur les raisons qui ont conduit la CGT à ne pas signer cet accord.

    Le coordinateur CGT Rhodia, Ughetto, explique ceci :
    Pour la CGT-Rhodia, la nouvelle mesure négociée en décembre n'est qu'une façon « sans conséquence » de répondre à l'obligation légale au 1er janvier 2010, pour toute entreprise de plus de 300 salariés, d'avoir prévu un plan pour l'emploi de ses seniors.
    Sans cela, l'entreprise serait soumise à une pénalité de sanction financière, équivalente à 1% de la masse salariale. Pour les PME, l'échéance a été repoussée de trois mois.
    Il ne s’agit donc pas d’un cadeau aux salariés, mais simplement d’un moyen de s’épargner des pénalités financières et de répondre à une obligation légale.

    Cette mesure est « sans conséquence » financière pour l’entreprise puisque le salarié est contraint de prendre ces « congés » sur son compte épargne-temps.
    (Je n’ai pas étudié les conséquences exactes de cette combinaison en terme de points de retraite, mais l’utilisation de ce compte correspond à une période de rupture du contrat de travail)

    Ughetto ajoute :
    « Il aurait fallu que la rémunération de l'employé reste à hauteur d'un temps plein, et non qu'elle passe à hauteur du temps partiel effectué par l'employé. »

    Enfin, la CGT a remis sur le tapis le départ ANTICIPE à la retraite des salariés, pour travaux pénibles notamment en 5x8, comme c’est souvent le cas chez Rhodia.
    Au contraire, le « congé grand-parental » aboutit à faire partir plus tard le salarié à la retraite puisqu’il doit prolonger sa présence dans l’entreprise au-delà de sa date de départ, jusqu’à concurrence du temps passé en « congé grand-parental ».

    D’autre part Le RH de Rhodia, Sciberras reconnaît également que « Le fait de voir les salariés quitter l'entreprise à l'âge où ils sont pourtant les plus compétents est embêtant. Un salarié de 60 ans qui part en retraite, c'est une grande perte. »
    En même temps il compte que les plus jeunes forment les plus vieux sur les technologies nouvelles et en bureautique. En retour, les seniors formeraient les plus jeunes. En d’autres termes cela dispense les RH d’anticiper des plans de formation coûteux, puisque les salariés se débrouillent tout seuls !

    En résumé :
    Une opération qui permet à Rhodia d’échapper à la « punition » du 1% par l’emploi de seniors.
    Une opération qui ne lui coûte rien puisque le salarié finance lui-même ses congés.
    Une opération qui permet de conserver des salariés après l’âge de la retraite, au lieu qu’ils aillent se reposer.
    Une opération qui fait économiser la formation des plus jeunes et la remise à niveau des anciens.
    C’est tout bénéfice pour Rhodia, sans compter la couronne de laurier du « modèle social ».
    Mais je te rassure, Rhodia n’en est pas à son coup d’essai :
    Depuis plus d’un an des retraités d’entreprises sous-traitantes reviennent à l’usine en passant par la case Adecco !

    Voilà le « Rhodia Way » !

    Amitiés.
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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 18:02

Un parking plein d’energie pour disneyland Paris ?

Une information circule actuellement comme quoi Eurodisney SCA, en partenariat avec EDF, serait actuellement sur le point de construire la plus grande centrale électrique photovoltaïque de France.

Une étude aurait été faite pour couvrir la totalité du parking visiteur d’ombrières photovoltaïques. Le parking fait plus de 11000 places.

Ces ombrières seraient également équipé d’un système de récupération des eaux de pluies.

Ce ne sera pas une première en France car des installations de ce type se trouvent déjà en France dans le sud.

Pas de date pour l’instant mais il semblerait que cela soit prévu pour 2010.


Ci-dessous, photos des installations du centre commercial LECLERC a coté de Montpellier (816 places couvertes)



Source parcsetcompagnie.com

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 17:56
La magie c'est nous !
 
Mickey est sans doute une star, mais sans nous ce n'est jamais qu'une peluche ! La direction pensait surement qu'avec une prime de 100 euros à Noël elle ferait passer le gel de nos salaires l'année prochaine, et bien non ! Le 23 décembre nous étions plusieurs centaines à manifester sur le parc, à bloquer parades et attractions ! On a cassé la magie ? Sans doute, mais les responsables ce sont ceux qui nous refusent des salaires décents !
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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 17:43

Relaxe pour les 6 condamnés de Continental.
Mobilisation pour la défense
des droits ouvriers et des libertés publiques

APPEL

Les organisations soussignées considèrent comme totalement injustes les condamnations prononcées par le tribunal de Compiègne le 1er septembre 2009 à l'encontre de 6 salariés de l'usine Continental de Clairoix. Conscientes des menaces que ce jugement fait planer sur les droits des travailleurs et des libertés publiques, elles demandent la relaxe des 6 condamnés de Continental par la Cour d'Appel d'Amiens dans son jugement qui suivra l'audience du 13 janvier 2010.

C'est pourquoi, solidaires des travailleurs de Continental, de leur lutte, de leurs représentants, et conscientes de l'importance de ce combat pour les libertés publiques, elles appellent à se joindre le plus nombreux possible à la

Manifestation mercredi 13 janvier à 11h00

de la gare d'Amiens au Palais de Justice pour exiger la relaxe des 6 condamnés de Continental.

Les signataires: l'intersyndicale CGT-CFDT-FO-CFTC-CFE/CGC et le Comité de Lutte de Continental Clairoix, la confédération Solidaires, la FSU, la fédération nationale des industries chimique FNIC-CGT, Alternative Libertaire, Lutte Ouvrière, NPA, Parti Communiste, Parti de Gauche, POI, Parti Socialiste, les Verts.

Cet appel lancé à l'initiative des travailleurs de Continental-Clairoix réunis en assemblée générale a déjà été relayée partout par de très nombreuses organisations syndicales et associations. En particulier sur Amiens, l'Union locale CGT d'Amiens Nord - zone industrielle et la FSU de la Somme.

Par ailleurs la Ligue des droits de l'homme et le Syndicat de la magistrature soutiennent cette manifestation. Jean Pierre Dubois Président de la LDH et Mathieu Bonduelle, secrétaire général du SM, viendront témoigner devant la Cour d'Appel aux côtés des six travailleurs condamnés. De la même façon viendront témoigner au procès les porte-parole nationaux de la FNIC-CGT : Jean Michel Petit, de Solidaires : Christian Mahieux, de Lutte Ouvrière : Nathalie Arthaud, du NPA : Olivier Besancenot, du Parti Communiste : Marie Georges Buffet, du Parti de Gauche : Jean Luc Mélenchon, du Parti Socialiste : Benoit Hamon, des Verts : Cécile Duflot.  

Tous à Amiens le mercredi 13 janvier

 à 11 heures
devant la Gare

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  • : Le blog de Cyril LAZARO
  • : Le blog d'un militant syndicaliste en lutte pour plus de justice sociale à Disneyland Paris. Réflexions, revendications, humour et amitiés
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